Journée 5 CVB52 HM / MARTIGUES VOLLEY BALL

5ème journée 13/11/2010


CNVB - Lyon (18 h)
Avignon - Orange
Narbonne - Dunkerque
Chaumont - Martigues
St-Brieuc - Cambrai (12/11/10)
Pl-Robinson - Asnières
Alès - Nancy






MARTIGUES VOLLEY-BALL

- passeur = Jaumel, Ramirez
- attaq/recept = corda, Lomacz, Ventresque, salvetti
- central = Louati, Bru
- pointu = Mainville
- libéro= Slih, Delcamp
- coach= charroux

Départs= Dereymez (Saint-Quentin), Besse (arrêt), Zupanc (Slovénie), Kaminski (Alés), Serajnik, Besse (arrêt),
arrivées= Jaumel (Montpellier), Louati (libre), Mainville (Constanta), Ramirez (Marseille), salvetti (beach), Slih (Asniéres)

« On avance, on avance, c’est une évidence »

En quête d’un succès en terre nordiste pour la deuxième fois en 8 ans, le CVB a finalement tenu la baraque. Il s’en est fallu de peu. Après deux balles de deux sets à un mal négociés par DUNKERQUE, nous avons sorti le gros jeu dans le money time pour finir en trombe comme lors des deux dernières rencontres. Comme ils disent avec « SYNTHOL », ça fait du bien par où ça passe parce qu’après avoir mené de 4 points en fin de troisième set, nous avons senti le souffle rauque du vent dunkerquois sur notre nuque embrasée. L’incendie a été contenu dans un premier temps par les pompiers de services avant que les canadairs cévébistes, comprenez ceux qui survolent le filet, ne gagnent la bataille du centre. Cela restera notre set de référence en ce début de saison au chapitre « guerre des nerfs ».

Encore un point positif, c’est également la première fois que nous remportons le premier set. Les soucis à l’allumage commençaient à systématiquement nous mettre en retard dans des rencontres qui finissaient fatalement à la baïonnette.

Dans la bataille de samedi soir, nous sommes parvenus à épuiser notre habituel réceptionneur attaquant. Abondamment servi par la distribution du passeur américain, le soldat PECHERZ s’est épuisé à l’aile pour finalement recevoir une permission de son coach dès le début du troisième set. « Fantassin, repose-toi, d’autres batailles arrivent, le CVB a besoin de toi ». Patients, nos centraux FUAHEA et HILAIRE ont attendu qu’on leur donne des munitions dans le troisième pour conclure les points grâce à des salves ravageuses. La réserve, avec CEHRA, finira le travail avec un scénario proche de celui de « FORT ALAMO ». Comprenez que l’équipe de DUNKERQUE n’a pas l’effectif de l’armée mexicaine avec seulement 8 joueurs valides. Pas de solutions de rechange sur la durée d’un match. A l’entraînement, c’est limite « Beach volley ». Les raisons de notre succès sont aussi à chercher de ce côté-là.

Autre motif de satisfaction, le ciment semble prendre dans cette équipe. Le volley est un langage international encore faut-il avoir les codes pour le comprendre. Avec 5 nationalités, le CVB pourrait être une tour de BABEL mais la volonté de vivre ensemble semble la plus forte. On surveillera quand même l’ambiance lorsque le groupe sera dans le dur.

Pensons quand même un instant à tous ces mercenaires qui ont composé l’équipe professionnelle ces quinze dernières années. Un mélange coloré de nationalités que l’on voit rarement ailleurs que dans le sport de haut niveau. Imaginez un peu les kilomètres parcourus par les uns et les autres pour trouver la lumière de la salle Jean MASSON. Vendre son talent le temps d’une année, quelquefois moins, à un club dont vous ne connaissiez rien deux mois plus tôt.

Tous les samedis soir, il faut trouver la flamme pour éblouir ces spectateurs qui vous tendent les mains, qui crient parfois votre nom, et dont vous ne savez rien.

Sans verser dans la caricature, vous admettrez peut être facilement que nous n’habitons pas une ville lumière. Seuls ceux qui y vivent depuis longtemps ont les yeux de Chimène pour la cité préfectorale.

Les autres la jugent plus sévèrement. Chape de plomb quand vous levez les yeux au ciel. Trottoirs usés par les regards baissés. Passants pétrifiés dans leurs manteaux d’hiver.

A l’inverse, ils sont quelques uns dans l’équipe à avoir vécu sous le vent tropical. Des plages sucrées que nous ne connaissons qu’en carte postale. Ils sont venus dans le gris par accident et une partie de leur cœur est resté là bas.

Alors où nos joueurs professionnels trouvent-ils la ressource pour surmonter toutes ces heures épuisées à l’entraînement et en déplacement ? Comment font-ils pour supporter l’éloignement d’un foyer qui doit bien exister quelque part ?

Une fièvre brûle dans leurs veines. La passion du sport.

Comme dirait l’autre, « La passion, c’est comme les essuies glace. Ca n’arrête pas la pluie mais ça permet d’avancer ».

On avance, on avance, c’est une évidence !

chapeau bas Yvan, très belle analyse !!!!!!!

Merci Jakouille,

sinon, pour le live, le lien est comme d'habitude :

http://stephnane.perso.neuf.fr

A ce soir 20 heures.

yvan reynaud a écrit:

Comme dirait l’autre, « La passion, c’est comme les essuies glace. Ca n’arrête pas la pluie mais ça permet d’avancer ».

avec Jakouille mais ce que j'aime le plus c'est les expressions que tu nous sors à chaque article.

Privé de match à cause du boulot,je vous remercie pour le live et bravo à tout l'équipe qui engrange encore 3 points

Et un
Et deux
Et 3-0 !!!!!

=D

Très beau match avec une bonne petite ambiance

Résumé de France3 du match CVB52HM/MVB (avancé jusqu'à 2'05 environ)

Jéjé a écrit:

yvan reynaud a écrit:

Comme dirait l’autre, « La passion, c’est comme les essuies glace. Ca n’arrête pas la pluie mais ça permet d’avancer ».

avec Jakouille mais ce que j'aime le plus c'est les expressions que tu nous sors à chaque article.

+ 1000...Je suis une Fan de Yvan.....

Jéjé a écrit:

Résumé de France3 du match CVB52HM/MVB (avancé jusqu'à 2'05 environ)

Sympa...et un tifo MAGNIFIQUE!!!!! La grande classe!!!

Cambrai un ton au-dessus de Saint-Brieuc

Face à des Briochins qui n'avaient hier soir que leur bonne volonté à opposer, la formation nordiste s'est montrée supérieure dans tous les compartiments du jeu.

Avec d'un côté un leader Cambraisien désireux d'imposer d'entrée sa suprématie et de l'autre une formation briochine en quête d'exploit, les deux protagonistes entraient sans round d'observation dans le vif du sujet. Et comme les défenses se montraient à leur avantage, on se retrouvait avec une logique égalité à 8 partout. Mais Cambrai n'est pas leader pour rien. Et quand Moulinier et Meyer décidaient d'élever le rythme, les locaux ne pouvaient suivre et leur réception volait en éclat. Avec au tableau d'affichage un cinglant 5-0 qui portait le score à 13-8. La rentrée de Valentin Brouck ramenait un bref instant l'espoir dans le camp local, mais la belle machine nordiste était trop bien huilée pour se gripper. Et Radichkov et ses partenaires continuaient à passer sans opposition un block local aux abonnés absents. 17-12, 22- 13 cela tournait à la démonstration avant que Puljic ne mette fin au calvaire de ses anciens partenaires (25-15).


Peut-être trop sûrs de leur supériorité, les visiteurs débutaient la seconde manche un ton en dessous en multipliant les fautes au service et à l'attaque. De quoi aider les locaux à sortir la tête de l'eau. Et grâce à la réussite de Radic, les conduire à faire jeu égal dans la première moitié du set (12-12). Mais sentant le danger, Juré Kvesic reprenait les choses en mains et remettait ses partenaires dans le match. Cela se traduisait par un 8-2 sans appel. Et c'est comme à la parade que Geoffroy Meyer pliait le deuxième set 25-18.

La suite semblait écrite d'avance. Surtout que Radickhov portait rapidement le score à 4-1 dans la troisième manche. Mais avec beaucoup d'abnégation dans le sillage de Dalibor Radic, les joueurs de Nénad Djordjevic allaient enfin tous se mettre au service de l'équipe et se battre sur tous les ballons. Et se permettre de disposer de deux points d'avance au second temps mort technique (16-14). Un crime de lèse majesté que la bande à Fabien Lemaire n'allait pas laisser impuni. Le central visiteur remettait en effet son équipe à égalité 20-20 avant que Meyer ne finisse la besogne avec une série de cinq services.

•

CAMBRAI - SAINT-BRIEUC : 3-0.

>>CAMBRAI : Kvesic, Moulinier, Meyer, Radichkov, Puljic, Lemaire, libéro Lanta puis Simesek.
source/La Voix des Sports

A Montpellier (Jacques-Shaw), l'Asul bat le CNVB 3 sets à 0 (25-23 en 31', 25-17 en 23',25-14 en 23').

Arbitres : M. Nodale et Mme Hamon. Spectateurs : 50 environ.

CNVB : Bruckert (2), Oriol (4), Louati (5), Talia (12), Rabiller (3), Le Goff (4). Puis Daniel, Aguenier (1), Lalouette (1), Corteggiani (1), Demirovic (3). Libero : Duée. Non utilisé : Le Vot, Salvan, Jouffroy, Accambray, Kartev.

Asul : Hominal (1), Daquin (4), J. Jambon (11), Valefuaniu (9), Mihaylov (5), Ristic (9). Puis M. Jambon (2), Dubuis. Libero : Rossillol. Non utilisés : Joksimovic, Todorov, Alter, Clément.

Les Lyonnais n'ont pas fait de quartier contre Montpellier (3-0)

Pendant longtemps, Lyon buta sur le block défense du CNVB, bien en place autour d'Oriol. A ce moment du match, les services ne lui permettaient pas encore de mettre en échec une réception relativement solide. Mais c'est surtout en attaque où les jeunes du CNVB trouvaient des solutions, notamment avec Talia en bout d'aile.

Ce n'est finalement qu'en fin de premier set que l'Asul obtint enfin un peu de liberté pour l'emporter.

Face à cette jeune équipe toujours à la recherche de son premier succès, le match venait de basculer. En faisant la course en tête, Lyon venait de faire le plus dur. Car dès le premier temps mort technique de la manche suivante, les symptômes habituels de son adversaire réapparaissaient : une réception soudain flageolante, à l'image de Rabiller, qui allait d'ailleurs finir par attaquer la troisième manche sur le banc, de la précipitation en attaque et une pluie de fautes directes. A l'image de Louati, arrosant copieusement en dehors des lignes, le CNVB perdait son volley. Et face à cette réception brinquebalante, Valefuaniu se régalait de lire le jeu du passeur adverse. Le central Le Goff en faisait particulièrement les frais en étant contré à quatre reprises par le double mètre de son alter ego.

Les locaux s'étaient écroulés dans la seconde manche (17-25), la troisième fut pire encore. Le duo J. Jambon et Ristic assurait tranquillement la nette victoire. Face à une équipe multipliant les erreurs grossières, la fin de match s'achevait sur un score très lourd, malgré les nombreux changements adverses (14-25). Avec trois succès pour deux défaites, l'Asul poursuit sa remontée au classement.
source/le progrés

VOLLEY
Narbonne fait le boulot

Les Narbonnais ne sont pas tombés, hier, dans le piège tendu par de pâles Dunkerquois. Ils ont fait le métier et signé un deuxième succès de suite à trois points.

Il n'y a pas eu de match hier entre une équipe de Narbonne en hausse et une formation de Dunkerque sans grande conviction. Les Nordistes ont donc traversé toute la France pour peu de chose.
«Nous avons montré nos limites à Narbonne, avoue Gaël Bollingier, un entraîneur dépité. On a tenu jusqu'à 12-12 au premier set et puis on a lâché prise. On était à cours de solution et, surtout, on n'a pas montré de volonté de s'en sortir. Pour espérer mieux cette saison, il faudra changer d'état d'esprit, se battre.» Son alter ego narbonnais, Jean-Marc Biaso se montre ravit d'avoir franchi «une étape de plus vers un retour de la confiance collective perdue d'entrée de championnat face à Nancy. Face à une équipe qui se bat pour rester en Ligue B, il fallait assurer, et on l'a fait.»

Les Centurions ont pris le temps de prendre la mesure de leur adversaire. Car c'est Dunkerque qui, par le biais de Keita, vire devant au premier temps mort technique (7-8) alors que les locaux avaient mené les débats jusque-là, par Moreno et Brizola. Une faute visiteuse et un ace de Schalk plus tard, Narbonne a repris les rênes (10-8). Les Audois s'échappent alors irrésistiblement, sur un premier point de Marcilio (Braga Da Silva), une faute de Keita en bout de filet (13-9). De plus en plus muselés par le block narbonnais, les attaquants nordistes partent à la faute, comme Pieragnoli ou Jeanlys (18-12). Moreno réussit alors le premier contre gagnant du Narbonne Volley, face à Chiapetti (19-12). Schalk passe à l'autre bout du filet, Brizola puis Marcilio bloquent à droite (23-15). Schalk trouve une énième fois les mains adverses et Brizola conclut (25-16 en 23 minutes).

Narbonne poursuit sur sa lancée et s'échappe d'entrée de 2e set sur un ace (mal jugé) de Brizola, deux carottes par-dessus le block dunkerquois (Bersani et Schalk) et un contre de Moreno (8-5). Dans la foulée, Nenchev sert un coup de fusil (9-5). Malgré un contre Jeanlys sur Bersani (14-10), les Audois font cavalier seul. Le même Bersani porte leur avance à six unités, après une superbe défense de Schalk dans le coin gauche (16-10. Nenchev, Brizola sur une réception rendue et Schalk enfoncent le clou (21-13). Brizola contre et Gardien qui vient d'entrer en jeu et marque aussitôt (23-14). Les mots de la fin sont pour Marcilio, en deux attaques. Ça sent la fin pour Dunkerque dont les maux, eux, s'accentuent (25-16 en 21 minutes).

Petit relâchement sans conséquence

Le repos ne change rien à l'affaire en effet. Marcilio entame son 3e set par un ace (4-2). Le début de manche ressemble à un festival de services ratés, de part et d'autre. Narbonne s'en sort bien mieux toutefois et creuse l'écart par Schalk, qui exploite une mauvaise réception adverse puis croise en finesse. Marcilio croise également sa frappe, mais plus en force (10-5). Un block de Gardien sur Chiapetti répond à un contre de Pépin sur le jeune Narbonnais (12-8). Nenchev enchaîne, au contre lui aussi, et Marcilio sort deux aces, dans l'angle et sur la ligne de fond (16-9). Le trou est fait. S'ensuit une petite période de relâchement dans les rangs audois qui, moins précis en réception, commettent quatre fautes de rang (17-14). Nenchev, tranchant, relance la mécanique. Marcilio s'arrache pour inscrire ses 9e et 10e points d'attaque (20-15, 22-18) et Bersani prend le relais, après deux attaques de Jeanlys bien défendues et un smash long de ligne (24-19). Le dernier mot est encore pour Marcilio, derrière une réception spectaculaire de Schalk (25-20 en 25 minutes).

FICHE TECHNIQUE
NARBONNE. Arbitrage
de Mme Paris, assistée de M. Bernard. 500 spectateurs environ.
Pour Narbonne:
6 aces (Braga Da Silva 3); 9 contres (Brizola 4, Moreno 2); 42 attaques (Braga Da Silva 11, Schalk 10); 23 fautes directes (dont 15 au service).
Six de départ: Nenchev 6 pts, Brizola 10 puis Gardien 2, Schalk (cap.) 11, Moreno 3, Patuc 3 puis Bersani 7, Braga Da Silva (Marcilio) 15. Libéro: Poyer. Entraîneur: Biasio.
Pour Dunkerque:
4 contres, 25 attaques (Keita 9, Chiapetti 7); 18 fautes directes (dont 11 au service). Libéro: Ondrusek. Entraîneur: Bollengier.
source/l'indépendant

Cambrai taille patron

SAINT-BRIEUC - CAMBRAI 0-3 (15-25, 18-25, 21-25)


Leaders invaincus, les Cambrésiens étaient attendus de pied ferme par des Briochins ambitieux.

« Jouer l'équipe de tête est toujours une motivation, et ce sera pour nous l'occasion de nous étalonner », confiait Camille Belhache.

À l'arrivée, le constat est sans appel : les deux équipes ne luttent pas dans la même catégorie. Solides dans toutes leurs lignes, avec un duo Lemaire-Puljic dominateur au filet, un trio de réception inébranlable autour du libero David Lanta, et une force de percussion parfaitement répartie entre Meyer, Radichkhov et Moulinier, les Nordistes n'ont laissé que des miettes à leurs adversaires. « On se savait attendus et on a su répondre présent », savourait Fabien Lemaire.

Car, dès que les hommes de Radko Peris ont mis le pied sur l'accélérateur, c'est tout l'édifice briochin qui a volé en éclats. « On a été catastrophiques », résumait complètement désemparé le capitaine Dalibor Radic, le seul avec Boriskevitch à avoir surnagé dans ce naufrage.

Avec, à chaque fois, le même scénario. Un début de rencontre équilibré jusqu'à 8-8 dans la première manche et 12-12 dans la deuxième. Et sur un changement de rythme signé Meyer-Moulinier dans le premier set et Radichkov-Puljic dans le deuxième, un avis de tempête dans les rangs briochins avec au tableau d'affichage un 5-0 et un 8-2.

Dès que le danger s'est fait sentir dans le troisième set, Kvesic a su mettre le turbo. Et passer de 16-14 à 16-18, afin de briser les derniers rêves briochins. « C'est une belle victoire collective, affirma l'entraîneur cambrésien Ratko Peris. Je dis bravo à mes joueurs qui ont su faire douter une équipe briochine en mal de réception. » •
source/La Voix des Sports

Dunkerque coule à Narbonne

NARBONNE - DUNKERQUE 3-0 (25-16, 25-16, 25-20)


Il n'y a pas eu de match entre une équipe de Narbonne en hausse et une formation de Dunkerque sans grande conviction.

« Nous avons montré nos limites, avoue Gaël Bollengier, dépité. On a tenu jusqu'à 12-12 au premier set et puis on a lâché prise. On était à cours de solutions et, surtout, on n'a pas montré de volonté de s'en sortir. Pour espérer mieux cette saison, il faudra changer d'état d'esprit, se battre.»

Les Centurions ont pris le temps de prendre la mesure de leur adversaire. Car c'est Dunkerque qui, par le biais de Keita, vira devant au premier temps mort technique (7-8). Une faute nordiste et un ace de Schalk plus tard, Narbonne reprit les rênes (10-8). Les Audois s'échappaient alors irrésistiblement. De plus en plus muselés par le block narbonnais, les attaquants maritimes partaient à la faute, comme Pieragnoli ou Jeanlys (18-12, 25-16).

Narbonne poursuivit sur sa lancée et s'échappa d'entrée de deuxième set sur un ace (mal jugé) de Brizola et un contre de Moreno (8-5). Les Audois firent cavalier seul (16-10, 25-16).

Le repos ne changea rien. Marcilio entama le troisième set par un ace et le début de manche ressembla à un festival de services ratés, de part et d'autre.

Narbonne creusa l'écart par Schalk, qui exploita une mauvaise réception adverse. Marcilio sortit deux aces (16-9). Le trou était fait. En commettent quatre fautes de rang en réception, Narbonne lâchait du lest (17-14), mais Nenchev, tranchant, relançait la mécanique (20-15, 22-18). Le dernier mot était encore pour Marcilio, derrière une réception spectaculaire de Schalk (25-20). •
source/La Voix des Sports