COUPE DE FRANCE

Le CVB 52 ira jouer à CHALON sur SAONE ( N3 ) on aura pas notre derby

allez cvb

On avait 4 chances sur 31 de tomber sur une équipe amateur, on peut dire que Chaumont s'en sort bien COUPE DE FRANCE Icon_win

une chance supplementaire de recevoir une pro A en 8e COUPE DE FRANCE Icon_big

Saint Dizier reçoit Orange mais la date de ce tour est prévu en semaine, le mardi... la fete aurait été plus grande que ce soit à St Dizier ou Chalons sur Saone si le match aurait eu lieu le week end COUPE DE FRANCE Icon_rol

Pas de derby haut-marnais mais les bragards retrouveront une vieille connaissance avec Martel de l'autre coté du filet COUPE DE FRANCE Icon_mrg

Les 2 autres clubs amateurs, Rantigny (N3) et Mende (N2) vont passer un bon noel puisqu'ils recevront Paris et Tours... rien que ça

Tirage ici :
http://www.volley.asso.fr/nouveau/com_tirage_101214.pdf

Le VBC Chalon hérite
de Chaumont (Ligue B)

Mardi soir, Chalon attendait avec impatience le tirage au sort des seizièmes de finale de la Coupe de France. Mais jamais Pierre Mamessier et les autres membres du club n’ont pu obtenir le précieux renseignement. Visiblement, la Ligue Nationale de Volley ne semblait pas pressée de communiquer sur le sujet.

C’est donc hier sur le coup de onze heures que le président a su que Chaumont rendrait visite à son équipe le 25 janvier prochain (20 heures) peut-être à la Maison des Sports.

Chaumont, équipe de Ligue B, est actuellement troisième après neuf matches joués. Pourtant, Pierre Mamessier s’était pris à rêver d’autre chose. D’où une légère déception. « Ça reste une belle affiche et on va essayer de faire un maximum de bruit autour de cet événement, indique le jeune président. On est quand même un peu déçu. C’est comme en foot, vous espérez toujours Lyon ou Marseille. Alors nous, on pensait à Poitiers, Tours ou Cannes. »

Si Chaumont a effectivement moins de prestige que les équipes précitées,il n’en reste pas moins une place forte du volley français. Chalon s’encontera donc volontiers et essaiera d’attirer les spectateurs.Seul problème, et il est d’importance, la date du match fixée un mardi. « La rencontre intervient deux jours après la réception de Sennecey.On va ainsi essayer de faire une sorte de pack pour les deux matches. Peut-être un billet acheté pour Sennecey et celui de la Coupe de France gratuit » propose un Pierre Mamessier qui n’a pas fait de croix sur une éventuelle qualification. « Sur le papier, c’est sûr que ce sera très compliqué car en face c’est une armada juge-t-il. On a une chance infime mais sur un match tout est possible.Dans notre effectif on a deux garçons (Ndlr : Bélizidia et Gasmi) qui ont déjà joué à un niveau international et qui sont très motivés. »

Richard Montavon

source/JSL/via le site du VBCC

>>classement

http://www.volley.asso.fr/nouveau/WEB3MB.HTM

Effectif N3 Saison 2010-2011

COUPE DE FRANCE Effectif_n3_2010-2011

A noter la présence de l'ancien central de saint-brieuc (09/10), Ajaccio (08/09), patrice Faure-Brac (numéro 9)

http://www.vbcc.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=119&Itemid=90

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A priori, match à 21H ... aura-t-on un moyen d'avoir les scores plus ou moins en live ?

Nantes Rezé a droit à un petit bonus

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La coupe n'est pas la priorité d'un club qui vise surtout le maintien en Ligue A. Mais
pour Martin Demar et ses joueurs, un petit bonus ne se refuse pas. / Photo : Ludovic Failler

Coupe de France (16e). Nantes Rezé - Saint-Quentin, ce soir, 20h. Trois jours après Toulouse, le NRM retrouve Saint-Quentin pour un match de coupe sans vrai enjeu... mais à valeur de bonus.

Nantes Rezé retrouve ce mardi soir une équipe picarde battue 3-1 le 21 décembre dernier en championnat. La coupe de France n'est pas la priorité du Nantes Rezé Métropole. Mais ce match offre l'occasion de faire le point avec Martin Demar sur la première moitié de saison des Métropolitains.

Martin, revenons tout d'abord sur la victoire face à Toulouse...
« Pour moi, c'est très important d'avoir arraché la victoire, même si c'est au tie-break. Après avoir enchaîné les défaites contre Tourcoing, puis Sète et Montpellier, il nous fallait cela. Même sans prendre les 3 points, cela nous redonne confiance pour la suite. »

Pourtant, 3 points en 9 matches et à domicile, ce n'est pas énorme ?
« C'est vrai, ce n'est pas beaucoup. Mais il faut dire que la volonté de bien faire était là. Chaque fois, on n'était pas loin. Même contre Sète, la défaite 3-0 ne reflétait pas complètement la physionomie d'un match où nous n'étions si loin de l'adversaire. »

Si l'on fait le bilan de ces matches aller, il y a du bon et du moins bon ?
« Le début de saison a été euphorique. On a voulu prouver que nous n'étions pas en Ligue A par hasard et on a réussi, sachant que beaucoup de monde nous voyait déjà dans la charrette de la descente. Rien n'est encore joué. Mais on peut être meilleurs partout, mais aussi moins bons partout. Concernant l'aspect négatif, j'ai surtout des regrets sur des matches comme Tours (défaite 3-2) et Paris (défaite 3-2) où on réalise de belles parties. L'inconvénient aussi, c'est que maintenant que nous sommes respectés, tout le monde nous attend. Cela devient plus difficile de surprendre. Autre point à travailler, c'est cette naïveté dans certaines séquences de jeu. Encore samedi contre Toulouse, nous menons avant d'être rejoints à 20-20 et de craquer en perdant le 1er set (25-22). On manque d'expérience face à des formations qui affichent plusieurs saisons en Ligue A. »

Et l'avenir de Martin Demar dans tout ça ?
« J'ai signé un nouveau contrat de 3 ans en fin de saison dernière. Ce que je souhaite, c'est de rester en Ligue A avec Nantes Rezé. Je me plais bien ici. Mais comme on sait, dans la vie, on n'est sûr de rien. »

Justement, qu'espèrez-vous pour la suite ?
« Rester en Ligue A et pourquoi pas, jouer les playoffs. Ne pas continuer à s'entraîner et jouer dans deux salles différentes, pour les joueurs et aussi pour fidéliser le public. Et enfin, un peu plus de moyens (rires). »

Et ce tour de coupe de France ?
« Ce n'est pas notre priorité. Ceci dit, on va jouer à la maison et pour gagner, c'est sûr. J'y vois également une bonne opportunité de faire évoluer certains joueurs en manque de temps de jeu. Ce sera une autre équipe sur le terrain. On espère que la salle Gaston-Turpin sera chaude, dans tous les sens du terme. »

Ce soir à 20 h, salle Gaston-Turpin

Nantes Rezé Métropole : 2. M. Godefroy (1,90 m) ; 3. A. Holubec (2 m) ; 5. M. Repak (1,88 m) ; 6. K. Linz (2 m) ; 7. H. Boulc'h (2 m) ; 8. D. Pribanovic (2,02 m) ; 9. B. Roger (1,85 m) ; 10. J. Salon (1,93 m) ; 12. R. Tosatto (1,93 m) ; 13. A. Soleilland (1,88 m) ; 14. J. Lavagne (1,84 m) ; 15. J. Rybnicek (1,97 m). Entraîneur : M. Demar.

Saint-Quentin : 1. G. Jorna (1,92 m) ; 3. B. Donat (1,75 m) ; 4. N. Gorbatiouk (2 m) ; 6. M. Zlatic (2,03 m) ; 7. D. Dukic (1,99 m) ; 8. M. Majdak (2,01 m) ; 9. F. Béclin (1,93 m) ; 10. D. Ferlay (1,90 m) ; 11. F. Tonemassa Sombang (1,93 m) ; 15. T. Benassi de Azevedo (2 m) ; 16. Y. China (1,80 m). Entraîneur : H. Vleminckx.

Arbitres : MM. Chaladay et Bernard.
source/Ouest-France

Geoffrey Meyer :
« On est parfois trop gentils, trop timides »

Geoffrey Meyer et les Cambrésiens veulent
oublier le revers de samedi. La venue de
Rennes tombe donc à pic!
PHOTO: V. BERTIN
Photo : La Voix du Nord

Sixièmes du général au terme de la phase aller : pour l'heure, le parcours du CVEC satisfait l'un de ses attaquants, à savoir Geoffrey Meyer, l'enfant du pays. Au surlendemain du cuisant revers de son équipe à Lyon (3-0), le Cambrésien regardait toujours de l'avant. « L'objectif reste se qualifier pour les play-offs, et après, tout peut arriver. » Rencontre.

- Geoffrey, quel bilan tirez-vous de cette première partie de saison ?
« Personnellement, je le trouve positif. On a une belle équipe, on prend plaisir à jouer ensemble, les nouveaux se sont bien intégrés et, par rapport à la première partie saison de l'an dernier, on a surtout de bons résultats. Mais j'espère qu'on fera mieux encore dans la deuxième partie de saison ! »

- La place de 6e après un aussi bon départ en championnat(1), ça ne vous chagrine pas un peu, quand même ?
« Le niveau du championnat est encore monté d'un cran cette année. À chaque match, il faut vraiment être à fond. Alors cette sixième place, à égalité avec Asnières, cinquième, c'est pas mal. Du reste, j'ai toujours pensé que notre participation pour les play-offs allait se jouer avec Asnières. Et on va se battre pour passer devant ! Il ne faudra rien lâcher mais c'est aussi ça qui est intéressant. »

- Des six équipes qui sont en tête, Cambrai est la seule à n'avoir gagné qu'une confrontation directe. Comment expliquez-vous cela ?
« Je pense qu'on aborde les rencontres différemment. Quand on sait qu'on joue moins fort que nous, on démarre très bien les matchs. Contre les autres... Je ne sais pas si c'est dû au stress mais encore samedi à Lyon, par exemple, on a encore joué par moments. Et quand on finit par lâcher deux ou trois points contre des équipes comme ça, c'est difficile de revenir après. »

- L'équipe manque encore un peu de régularité ?
« Oui, un peu. Mais aussi de mordant car on est parfois trop gentils. Est-ce dû au fait qu'on est une équipe de jeunes ? Je ne sais pas si l'argument est bon ou pas, mais toujours est-il qu'on est parfois trop timides. Il nous faudrait plus agressivité au service, par exemple. Samedi, on n'a pas su le faire. Et cela leur a permis de développer leur jeu et derrière, on a galéré. »

- Le problème serait donc plus d'ordre mental, alors ?
« Je pense oui. C'est là-dessus qu'on doit bosser. Car pour ce qui est du jeu, Ratko (Peris) fait tout pour nous placer dans de bonnes conditions. À ce niveau-là, on n'a pas d'excuses à avoir. »

- On ne vous sent pas trop inquiet quant à la suite de la saison ?
« J'ai confiance en l'équipe. On a de très bons joueurs. »

- En tout cas, votre progression en réception notamment, augure d'un bel avenir pour l'équipe.
« C'était un peu mon point faible avant, c'est vrai. Mais avec le block, on s'est focalisé là-dessus cette saison et on a bien travaillé.

Et aujourd'hui, je suis beaucoup plus serein. Limite, ça me fait plaisir quand on me sert dessus. »

- Un mot sur la réception de Rennes, 8e de Ligue A, en Coupe de France (ce soir à 20 h 30) ?
« Ce match tombe bien après la raclée qu'on vient de prendre. On n'a aucun complexe à avoir et on va pouvoir tout lâcher. On va jouer le coup à fond ! Après tout, l'an passé contre Paris (défaite 3-2), il ne nous avait pas manqué grand-chose. » •

FABRICE BOURGIS

(1) Après cinq journées, le CVEC était seul leader.

16e de finale de la Coupe de France : Cambrai (LB) - Rennes (LA), ce soir à 20 h 30 à Vanpoulle.

source/la voix des sports

Voilà un nouveau lièvre à courir

RAPPEL En quart de finale de la Coupe d'Europe et à la troisième place du championnat, l'Arago aborde ce soir une nouvelle compétition Les matchs se suivent et ne se ressemblent pas forcément pour l'Arago. De la CEV à la Ligue A, en passant ce soir par la Coupe de France, les Sétois ne se ménagent pas.

Samedi, ils étaient à Cannes pour la 2e journée retour de Ligue A. Un match, perdu en trois sets, qui a laissé un goût amer… « En plus d'avoir mal au talon, Benjamin Toniutti était malade, déclare Patrick Duflos. Et puis l'équipe manquait de mordant, de caractère. C'est imperceptible, mais il manquait la petite étincelle. Cela dit, on les tient durant chaque set, on doit même gagner le deuxième. À l'arrivée, le score est sévère mais, jusqu'à la fin, les Cannois n'avaient pas gagné. » Des Cannois qui, une fois de plus, ont réussi un grand match face aux Sétois…

Ça, c'était pour le championnat. Mais pas le temps de refaire le match. Ce soir, à Nice, il faudra se tourner vers la Coupe de France. Mais lorsque l'on est quart de finaliste d'une Coupe d'Europe et troisième du championnat de France, quel crédit doit-on accorder à une nouvelle épreuve dont le seul intérêt est de délivrer un billet unique pour la Ligue des Champions ? « C'est la grande question, poursuit le coach de l'Arago. Doit-on continuer à être ambitieux et gourmand ? Je ne sais pas et, sincèrement, je ne veux pas me poser la question. En revanche, je vais profiter de ce match pour donner du temps de jeu à ceux qui en manquent. » Sur le parquet, on devrait ainsi voir à l'œuvre Tournier, Mistoco et Granier. Ainsi que Ragondet qui a été économisé ces derniers temps. Mais Patrick Duflos préfère prévenir : « Attention, ça ne veut pas dire qu'on y va pour lâcher le match. On va le jouer à fond, histoire de redonner un peu de confiance et de rythme à tout le monde. Car justement, avec toutes nos échéances, nous aurons bientôt besoin de tout notre banc. »
Jérôme BELLUIRE
source/midi-libre

CVB 1 CHALONS 0 (25.15)

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SEV a écrit:: CVB 1 CHALONS 0 (25.15)

Merci SEV, toujours un tuyau pour les scores !! COUPE DE FRANCE Icon_win

En fait, il faut remercier Cricri, c'est lui qui est informé du score........j'y suis pour rien cette fois! snif Sad

et 25.16 CVB au 2eme set Smile

pour ces résultats Opacricri et Sev.

Salut

NANCY a perdu 3 0 voir sur le site de la LNV pour les résultats
évidement sauf le CVB et ST-DIZIER
A+ et bonne soirée

allez cvb

Medaillé d'or Nombre de messages : 1035 Date d'inscription : 11/05/2006

PYER1 a écrit:: Salut

NANCY a perdu 3 0 voir sur le site de la LNV pour les résultats
évidement sauf le CVB et ST-DIZIER
A+ et bonne soirée

On peut pas obliger les clubs de N3 à avoir le logiciel des stats ou même internet dans leur salles, question de budget Wink

3 à 0 pour CVB (15.25 16.25 16.25) bonne soirée à tout le monde.
Merci à Cricri.

Cambrai–Rennes 0/3 (19-25 19-25 14-25)
Asnières–Beauvais 0/3 (19-25 38-40 20-25)
Nantes-St-Quentin 1/3 (23-25 24-26 25-18 21-25)
Martigues–Cannes 0/3 (18-25 21-25 19-25)
Mende–Tours 0/3 (16-25 23-25 14-25)
St-Brieuc–Poitiers 2/3 (27-25 19-25 12-25 25-23 10-15)
Nancy–Tourcoing 0/3 (16-25 22-25 23-25)
Nice–Sète 3/2 (25-19 25-23 22-25 23-25 15-4)
Ajaccio-Montpellier 0/3 (24-26 21-25 21-25)
Alès–Avignon 0/3 (22-25 19-25 22-25)
Saint-Dizier - Orange
Dunkerque–CNVB 3/1 (19-25 25-16 25-20 25-22)
Lyon-Plessis-Robinson 3/1 (25-20 19-25 25-14 25-19)
Rantigny-Paris Volley 0/3 (8-25)
Chalon-sur-Saône-Chaumont 0/3 (15-25 16-25 16-25)
Narbonne–Toulouse (21-25 25-22 19-25 25-23)

merci à Seb de multisports.

Défaite de St Dizier (grâce à Facebook justement (cf post sur le match à Nancy COUPE DE FRANCE Icon_mrg

)) mais je n'ai pas le détail des sets et pas non plus le score... mais j'imagine 0-3 quand même france

Victoire d'Orange 25-14/ 25-15/ 25-19

coupe de france
l’Asul poursuit sa route

Victoire logique de l’Asul hier soir aux dépens de Plessis Robinson, 3 sets à 1. L’équipe Lyonnaise se qualifie ainsi pour les huitièmes de finale

A Lyon, Petit Palais des Sports de Gerland : Asul bat Plessis Robinson 3 sets à 1(25-20 en 30‘, 19-25 en 23 ‘, 25-14 en 23‘, 25-19 en 25’ ). Arbitres Mrs Guevenoux et Revayan.

300 spectateurs environ .

Asul : Hominal , Jambon J., Ristic, Mihaylov, Daquin (Cap.), Valefuaniu Rossillol (Lib.) puis Jambon M. Clément, Clement, Todorov et Alter Entr. Chalendar

Pour leur deuxième match en trois jours, les Lyonnais recevaient Plessis Robinson hier soir à Gerland en 16ème de finale de la coupe de France. Privé de 3 joueurs, Plessis Robinson a opposé une belle résistance à des lyonnais moins brillants qu’à l’accoutumé.

Après une entame de match très neutre (8-7), les contreurs lyonnais permettaient à l’Asul de faire la course en tête (16-14) et de creuser un écart décisif (20-15). Dans un match un brin tristounet, les Rhodaniens enlevaient le premier set sur une nouvelle erreur en réception des visieurs (25-20).

Alors que les coéquipiers de Dominique Daquin semblaient contrôler tranquillement la seconde manche (10-8), les Franciliens allaient sonner la révolte en signant un incroyable 10-0 qui mettait K.O. les lyonnais (10-18). Fébriles en réception et petit bras en attaque, à l’image d’un Mihaylov méconnaissable, les lyonnais ne parvenaient pas à inverser la tendance malgré les nombreux changements opérés par Chalendar à la recherche de solutions (19-25).

Vexés par la perte du set précédent, les Asulistes haussaient sensiblement leur niveau de jeu dans la troisième manche, retrouvant notamment une qualité de service plus conforme à leurs habitudes (10-6). Malgré quelques petits soucis de réception, l’Asul prenait facilement la mesure de visiteurs beaucoup moins fringants (20-12) et reprenaient les commandes du match (25-14).

Le dernier set n’était qu’une formalité pour les Lyonnais rapidement en tête (8-5 puis 14-8) et qui maitrisaient tranquillement la fin de match (25-19) pour s’offrir un 8ème de final avec l’espoir d’accueillir un gros club de Ligue A.
source/le progrés

Face à Nancy,
le TLM a assuré l'essentiel

Alors que sur le papier, le TLM avait tous les atouts pour ne pas s'éterniser sur le parquet nancéien, les hommes de Paulinho ont bien failli se faire embarquer dans un aléatoire 4e set avant que Rejlek ne libère ses couleurs sur la 3e balle de match (23-25).

Et pourtant, les pensionnaires de Ligue A avaient parfaitement entamé les débats en bouclant la première manche en 22 minutes. Les sept points de Rejlek, le meilleur attaquant du championnat, n'étaient pas étrangers à ce départ en fanfare des Télémistes. Certes, les Lorrains profitaient de l'absence de Lars Lorsheijd au centre de l'attaque nordiste pour enquiller quelques mines par l'intermédiaire de Bezdéka. Mais de l'autre côté du filet, le jeu tourquennois était bien en place et Lavallez pouvait servir dans les meilleures conditions Knudsen et Rejlek. Toutefois, le « six » de Paulinho commençait à montrer certaines fébrilités sur les services de Hentzen. Grâce à son passeur, le Nancy Volley prenait, pour la première fois du match, un avantage conséquent (10-6). C'est encore une fois Rejlek qui sonnait la révolte. Sortant du bois à point nommé, le Tchèque remettait les pendules à l'heure (16 partout). Cependant, les protégés de Manu Dumortier, un ancien du TLM, n'abdiquaient pas d'autant que le jeu nordiste était truffé de fautes directes (9 dans le 2e set). À 20-21, une faute au service de Kiciak et deux points de Villard refroidissaient les ardeurs locales (22-25).

D'autant qu'après la pause, Villard remettait le couvert (3-7 puis 8-14). Mais encore une fois, les Maxévillois s'appuyaient sur leur service pour déstabiliser leurs adversaires. Ainsi, après une belle série de Van Driessche, Tourcoing revoyait Nancy dans son rétro (16-17, 19-20 puis 21-22). Dans un final à suspense, le bras de Rejlek ne tremblait pas.

•

TLM (Ligue A) - NANCY VOLLEY MAXEVILLE/JARVILLE (Ligue B) : 3-0.

Arbitres. MM. Troesch (Als.) et Queste (Lor).

Les sets : 16-25 (22'), 22-25 (26'), 23-25 (27').
source/La Voix des Sports

DGL, en rodage, répète ses gammes

Mal en point dans leur championnat de Ligue B les volleyeurs dunkerquois avaient l'occasion de se rassurer et de préparer au mieux leurs prochaines échéances en championnat en recevant, dans le cadre de la Coupe de France, le CNVB, lanterne rouge de Ligue B. Mission accomplie même si tout ne fut pas rose.

Une entame de match catastrophique (2-11) dans la première manche fit d'abord craindre le pire, d'autant que DGL ne put refaire son retard. L'alerte fut toutefois de courte durée, la suite de la rencontre se résumant à un cavalier seul des Dunkerquois.

Au rayon des bonnes nouvelles, outre une attaque très percutante emmenée par le duo Jeanlys - Chiappetti, on notera le retour de Koné qui apporte une solution supplémentaire en attaque et davantage de force de percussion à une équipe qui aura besoin de solutions pour se sauver en championnat. Passons sur une qualité de réception médiocre, les hommes de Gaël Bollengier ayant assuré l'essentiel avec le plus grand sérieux pour la plus grande satisfaction du coach : « Dans une configuration plus normale où chacun joue à son poste on entrevoit d'autres choses. Ce fut un match appliqué avec une belle victoire à la clef mais le plus important c'est le retour de Koné qui a tenu un match entier. Cela faisait trois mois que nous n'avions pas évolué avec une équipe type. Dès samedi en championnat contre Martigues on pourra proposer autre chose ». Ça tombe bien : ce sera une autre histoire face à un adversaire direct pour le maintien.

Quant à la Coupe de France rendez-vous est pris le 22 février pour les 8e de finale. •

DUNKERQUE - CNVB : 3-1 (19-25 en 26' 25-16 en 24' 25-20 en 29'; 25-22 en 28').
source/la voix des sports

Coupe de France :
le CVEC n'a pas pesé bien
lourd hier soir face à Rennes

sixième ex-aequo de son championnat et toujours en course pour une participation aux play-offs, n'est, en effet, pas parvenue à jouer un mauvais tour aux Rennais, huitième de Ligue A. Comme contre les quatre premiers du général de Ligue B, excepté face à Chaumont, le CVEC n'a même pas pesé bien lourd.

D'entrée, les protégés de Boris Grebennikov affichaient leur supériorité physique (2-3). Plus présents au block, plus puissants au service, et un ton au dessus en attaque, les Bretons profitaient même de la première attaque non cadrée de la partie (2-4) pour s'envoler (3-9). Et le CVEC avait beau essayer de régler son block (7-10), rien n'y faisait. Keir et les siens filaient empocher les gains du premier set (19-25).

Dans une salle étrangement calme - les Blue Eagles 59 (groupe de supporters du CVEC) n'avaient sorti ni drapeaux ni tambours hier soir - les Bretons étaient bien partis pour vivre une soirée tranquille. Et leur départ canon, d'entrée de deuxième manche, le confirmait (0-4). Forts de cet écart, Fauura et les siens pouvaient gérer (6-10). Voire même laisser venir (12-14). Hier, le CVEC, corrigé trois jours plus tôt à Lyon (3-0), semblait vraiment incapable de créer cette petite étincelle susceptible de mettre un peu de folie dans ce match. En tout cas, Pupart, en passant deux attaques et un block (13-17), ne le lui permettait pas. Et Grimailovs avait beau jeter toutes ses forces au service (19-21), Rennes s'offrait fort logiquement ce deuxième set (19-25).

À 2-0, les visiteurs avaient donc fait le plus dur hier soir. Au retour des vestiaires, il ne leur restait plus qu'à enfoncer le clou, histoire de ne pas laisser trop de jus avant un déplacement très important à Tourcoing (7e), samedi en championnat. Et bien que menés pour la première fois de la soirée, suite à une attaque « out » de Fauura (2-1), les Rennais allaient poursuivre sur leur lancée, après que deux blocks consécutifs signés Keir et Ragondet (2-4). Dès lors, le CVEC lâchait définitivement prise (3-10)... et cédait le billet pour les huitièmes de finale à son hôte du jour. •

FABRICE BOUGIS

16e de finale de la Coupe de France.- CVE Cambrai - Rennes V35 : 0-3 (19-25 en 25'; 19-25 en 24'; 14-25 en 21').

Arbitrage de MM. Juan et Dillies. Environ 550 spectateurs.

5CAMBRAI : 27 attaques (Radichkov 9), 6 contres (Meyer, Lemaire 2), 2 services gagnants (Lemaire et Grimailovs).

5RENNES : 31 attaques (Keir, 10), 13 contres (Pupart 4, Fauura 3), 4 services gagnants (Hotulevs 2).
source/La Voix des Sports

Sète doit passer son tour

NICE VB 3 ARAGO SÈTE 2 À Nice, salle Palmeira.

Les sets : 25-19 ; 25-23 ; 22-25 ; 23-25 ; 15-4.

Arbitres : MM. Collados et Marenc. Points joués : 206 (110+96).

NICE : 5 aces (Jokanovic 2) ; 16 contres (Ah Kong 6) ; 58 attaques (Mrozek 15) ; 29 fautes directes dont 12 au service.

Six de départ : Jokanovic cap. 6, Damiao 15, Mrozek 17, Birau 14, Ah Kong 13, Furneau 12 puis Widiez. Libero : Kraska.

Entraîneur : Slobodan Lozancic.

SÈTE : 5 aces (Geiler 2) ; 7 contres (Granier 2) ; 55 attaques (Mistoco 19) ; 33 fautes directes dont 18 au service.

Six de départ : Tournier 3, Vesely 3 puis Senger cap. 3, Geiler 19, Mistoco 21, Granier 7, E. Ragondet 11. Libero : Rowlandson. Entraîneur : Patrick Duflos.

Bien calé sur le podium de la Ligue A, euphorique en Coupe d'Europe, l'Arago a laissé le billet des huitièmes de finale de la Coupe de France à Nice, vainqueur hier soir, au bout des cinq sets. C'est dire que même si les Niçois n'avaient rien à voir avec les fantômes de Montpellier (3-0) de samedi dernier, ils ont dû aller chercher leur 'qualif' à l'énergie et avec les tripes.

Confronté à un calendrier démentiel laissant peu de temps pour souffler, Patrick Duflos a laissé, hier soir, sur la touche Fédéric Barais, Jovica Simovski et Benjamin Toniutti et a ménagé rapidement Vesely. Mais n'allez pas surtout pas parler au coach de l'Arago d'une équipe bis. « C'est un collectif, a-t-il martelé. On avait annoncé qu'on jouerait cette compétition ainsi. De toute façon, il est impossible de poursuivre sur ce rythme-là. On ne peut tout faire avec six hommes... » Sa formation inédite n'est pas passée si loin que cela d'une nouvelle tournée de coupe.... À l'exception du tie-break qu'elle avait su brillamment aller chercher, Sète aura tenu fièrement son rang. « Dommage que nous ayons explosé dans le 5e set, a déploré Patrick Duflos. Nice a eu une série de services de folie… »

Dominé (6-0) sur des engagements de Furneau, d'entrée dans cette manche-couperet, l'Arago n'a jamais été alors en mesure de retourner la situation en sa faveur (15-4). Il avait pourtant si bien su le faire auparavant. Car après le gain des deux premières manches par des Niçois emmenés tambour battant par Mrozek et Ah Kong, Sète a réussi à placer son volley. Mistocco et Geiler ont trouvé les angles pour contrecarrer un contre azuréen à bloc (16 réussis). Il a pris les commandes au retour des vestiaires, (7-12) puis (16-21) pour réduire l'écart à deux sets à un sur un service envolé de Birau. Dans la foulée, il a maintenu la cadence dans la manche suivante pour creuser un écart 16-18 sur deux attaques de Geiler, Mistoco se chargeant de conclure après deux blocks de Mrozek (23-25).

Revenus de si loin dans ce seizième de finale, les Sétois ont subi les services de Furneau dans la 'prolongation'. Dommage… Mais l'essentiel se trouve sans doute ailleurs pour Sète qui recevra en fin de semaine Paris, un concurrent à écarter, et qui a un voyage en Italie à préparer.
Janine GIANARIA
source/midi-libre

À Alès,
c'est la débandade

ALÈS (Ligue B)0 AVIGNON (Ligue B)3 Halle de Clavières.

Les sets : 22-25 ; 19-25 ; 22-25.

Durée du match : 1 h 17.

Arbitres : MM. Gabriele et Daret.

Spectateurs : environ 350.

ALÈS : 63 points ; 4 aces ; 35 attaques ; 8 contres gagnants ; 27 fautes (dont 11 au service). Banchev (4), Kaminski (11), Farjaudon (11), Clère (5), Basta Doreto (8), Diego (8), puis Davidiuk (cap). Libéro : C. Amsellem.

Entraîneur : Luc Marquet.

AVIGNON : 75 points ; 5 aces ;

33 attaques ; 10 contres ; 16 fautes (dont 8 au service). Tervaportti (7), Bégué (8), Lamoise (16), McGivern (6), Carn (2), Frontin (8) puis Bertrand, Kukhar (1). Libéro : Quoirin. Entraîneur : Amet.

21 h 40, hier soir sur le parquet de Clavières. Les Alésiens ont une nouvelle fois perdu contre Avignon, mais ils ont gagné un entraînement nocturne ! Punis par leur coach après avoir été punis par leurs adversaires...

On pouvait s'attendre à ce que José Amet fasse tourner son effectif, en prévision du championnat. Mais on ne change pas une équipe qui gagne. Seul Vallée manquait à l'appel, remplacé par le jeune Carn. Côté alésien, Davidiuk et Herrera étaient suppléés par Banchev et Clère. Les Vauclusiens s'appuyaient sur leur diable de serveur écossais, McGivern, pour débuter idéalement (3-0). Ensuite, ils n'avaient plus qu'à laisser les Alésiens commettre des fautes : pas moins de 11 dans ce 1er set, conclu par Lamoise (22-25). Impardonnable à ce niveau.

Une nouvelle série de McGivern propulsait l'AVB devant dans la 2e manche (13-10), alors qu'Alès avait bien débuté (2-5). Le festival Tervaportti pouvait alors commencer : passes arrières, aces, attaques... le Finlandais aux mèches blondes faisait sombrer le Cac, têtes basses (25-19).

Sur le banc, dépités, Luc Marquet et Elie Merheb restaient assis à la pause : c'est Davidiuk, le capitaine, qui s'improvisait coach et tentait de remobiliser ses coéquipiers. Peine perdue, et donc match perdu pour les Gardois, toujours aussi décevants. Le 3e set n'était qu'une formalité pour Avignon, nouvelle bête noire d'Alès (22-25). Mais cette saison, le Cac a beaucoup de bêtes noires.
Eric DELANZY
source/midi-libre

Les Centurions ont bataillé ferme

NARBONNE 2 TOULOUSE 3 Palais du Travail.

Toulouse bat Narbonne 3- 2 : 21-25 (24'), 25-22 (26'), 19-25 (23'), 25-23 (28'), 12-15 (16').

Arbitrage : MM. Vigneron et Verdu. Spectateurs : 200 environ.

NARBONNE : Nenchev, Brizola, Schalk (cap), Moreno, Patuc, Marcilio ; Poyer (libero). Sont entrés en jeu : Bersani, Gardien.

Entre une équipe qui espère toujours remonter en Ligue A et une autre dont le souhait est de ne pas plonger en Ligue B, rien n'indique que la Coupe de France est une priorité. Ce qui explique que Narbonne et Toulouse, deux vieilles connaissances, aient joué sans pression, hier soir. Sans pression ne signifie pas sans ambition car les deux protagonistes se sont pris au jeu au fil d'une rencontre à la fois équilibrée et débridée.

D'entrée, les Toulousains ont montré que leur contre avait une certaine hauteur et qu'il fallait compter sur leur pugnacité défensive. Ce qui a obligé Narbonne à prendre des risques offensifs. Faute d'un contre performant, les joueurs de Biaiso n'ont jamais pu rejoindre leurs adversaires, malgré un sursaut en fin de set (21-25).

Ce match tout en puissance a été l'occasion pour Marcilio le Narbonnais et Sorokins le Toulousain d'en découdre au filet et au service. Les deux attaquants ont d'ailleurs signé cinq aces chacun ! Dans une deuxième manche spectaculaire, Narbonne a aussi resserré son block et a su, comme Toulouse précédemment, garder ses distances. À l'arrivée, c'est la réception des Spacers qui a donné des signes de faiblesse face aux canonniers Patuc, Brizola, Nenchev et bien sûr Marcilio (25-22).

Sorokins s'est vengé dans le troisième set, portant son équipe lors des premiers échanges. Narbonne a limité les dégâts en revenant à 8-8, avant de craquer, juste après un ace de Marcilio (15-17). Toulouse s'est détaché subitement (15-20) et Pérez, l'ancien de la maison narbonnaise a fini le travail à lui tout seul (19-25).

Toulouse pensait bien achever le match sans difficulté, dans la mesure où les Narbonnais semblaient avoir abdiqué (10-14). C'était sans compter sur la volonté des 'orange et noir'. Gardien et Marcilio ont été les artisans d'un étonnant renversement de tendance (17-15). Une fois l'espoir d'un cinquième set revenu, le Narbonne Volley s'est évertué à ne pas lâcher l'affaire. Même lorsque la réception a faibli et que Toulouse a égalisé à 21-21. Marcilio, le précieux pointu brésilien s'est fâché tout net et a envoyé son équipe aux 'prolongations' (25-23).

Pour rien, pensait-on dans les tribunes, en voyant Toulouse dérouler dans le cinquième set. À 4-10, les chances narbonnaises étaient, effectivement très minces. Néanmoins, les partenaires de Schalk ont tenu à se battre jusqu'au bout, s'accrochant à 8-10, et 10-12. En vain car, avec un peu de réussite, les Toulousains ont fini par s'imposer (12-15).

Narbonne a pu s'étalonner face à une équipe de division supérieure. Les Centurions ont frôlé la qualification. Pas sûr que les cinq sets fassent toutefois plaisir à Jean-Marc Biasio, dans la perspective du match de championnat, samedi à Nancy.
Eric MARTY
source/midi-libre

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