Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM

La revue de presse du 07/03 commence par la défaite du CVB face à dunkerque en chaleur.

Volley-Ball.
Saint-Nazaire s'offre le droit
d'y croire encore

Le SNVBA n'est plus dernier. Mais cette victoire synonyme d'espoir a été obtenue dans la douleur.

Le SNVBA respire encore. Pas à pleins poumons, loin s'en faut. Mais, en battant Brive hier soir, il a quitté la dernière place et s'est offert la possibilité de croire encore en son maintien en Ligue B. Cette première victoire 3-0 de la saison a été très pénible à se dessiner. D'ailleurs, Jocelyn Pradet ne voulait retenir que le résultat. « Ce n'était pas du volley champagne, souriait le capitaine. Mais l'essentiel, c'était vraiment de prendre ces trois points. »

Pour l'emporter sur des Corréziens d'une insigne faiblesse, le SNVBA aura souffert dans chacun des trois sets. « Ce n'est sans doute pas le plus beau match que l'on ait fait, convenait également, Roger Vallée. Mais on s'en contentera. »

Tout au long de la soirée, les Nazairiens, qui restaient sur 5 revers consécutifs, auront « oscillé » selon le terme de l'entraîneur, entre de bons et de mauvais passages. Si bien qu'ils n'auront jamais réussi à se libérer du stress collant à la peau des équipes en lutte pour leur survie. On vit ainsi des joueurs servant habituellement smashé comme Agnithey, Fauura ou Moulinier, s'en remettre à des services flottants. Le pointu arrivé cet hiver, s'il réussit quelques blocks, offrit également un festival d'attaques manquées dans les grandes largeurs. Mais, Satour toujours blessé, comme Weyl d'ailleurs, le SNVBA n'avait, dixit Jocelyn Pradet, « pas beaucoup de solutions de rechange ».

Dans ces conditions, c'est au mental que les Maritimes l'ont emporté. D'abord en arrachant une première manche que l'on devinait quasiment décisive (25-22). « Grâce au service-block », soulignait justement Roger Vallée. Julien Lecoq, notamment, parvenait à mettre en échec des attaquants brivistes un tantinet obtus. Mais, derrière, alors que le public voulait voir son équipe se libérer, elle continua à jouer crispée. Pourtant partis devant au deuxième set, les Nazairiens cédèrent la main et s'embarquèrent dans une fin de manche très incertaine. Ce n'est qu'à la 5e balle de set qu'ils s'offrir de l'air.

Restait à finir le boulot au troisième. Ils le firent encore laborieusement. Après avoir passé un 5-0 pour mener 17-12 ils encaissèrent illico un 0-4. Le coude à coude les mena une nouvelle fois vers un épilogue tendu. Mais à la troisième balle de match, un gros ouf de soulagement balaya Coubertin. « On a gagné une bataille mais pas la guerre », résumait Roger Vallée. « On sait qu'il faudra faire beaucoup plus pour s'en sortir », ajoutait Jocelyn Pradet. C'est une certitude, mais le SNVBA, désormais 13e à quatre points du 10e, a encore le droit d'y croire.

SAINT-NAZAIRE - BRIVE : 3-0.

(25-22 en 26'; 28-26 en 30'; 25-23 en 27')

Arbitres : MM. Demiselles et Havard.

450 spectateurs environ.

SAINT-NAZAIRE : Agnithey (11), Fauura (5), Lecoq (7), Audric (2), Moulinier (12), Tosatto (16). Libero : Merel. Entraîneur : Vallée

BRIVE : Amrane (5), Mustedanovic (12), Dor (7), Angely (3), Marion (10), Valentin (10), Hominal (1), Balandzic (1). Libero : Bartholdy. Entraîneur : Cholet
source/ouest-france

Volley-Ball.
Un scénario en cinq actes
parfaitement monté

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Les Briochins s'imposent dans la douleur, face à une équipe lyonnaise victorieuse
au match aller 3 sets à 2.
Xavier Bonny

Les Briochins perdent un point dans la bataille tandis que les Lyonnais passent tout près de l'exploit.

Pour tenir le public en haleine, les auteurs de pièces de théâtre multiplient les rebondissements au fil des actes. En sport, pas de scénarios écrits, mais le suspense est parfois digne de la plus fertile imagination. Et vendredi, la rencontre entre Saint-Brieuc et Lyon aurait sans conteste pu obtenir le prix du meilleur scénario.

Les spectateurs sont en effet, au fil des sets, passés par toutes les phases de réaction. Côté briochin, c'est la confiance qui a tout de suite prédominé. Pensez donc, en menant 14-8 d'entrée la bande de Kornyienko, élut homme du match, malmenait une formation visiteuse hors du coup, à l'image de son pointu Ristic auteur de 30 points à l'aller. « Ça va faire 3-0 vite fait », entendait-on dans les tribunes.

Mais changement de décor au second set. Avec un Thibault Rossillol désireux de réussir son retour à Steredenn, les visiteurs reprenaient des couleurs et s'imposaient logiquement sur le score de 25-21. Les spectateurs se prenaient à douter, « Ça sera moins facile que prévu », rectifiaient-ils.

Moment de doute bref puisque le balancier allait repartir dans le bon sens au troisième set pour les Briochins. Après une égalité à 16 partout, Radovic, relativement discret jusque-là, sortait deux contres royaux. Ses partenaires, Grimailovs en tête, s'engouffraient dans la brèche. Et malgré une belle réaction visiteuse autour de Jambon, les locaux reprenaient les commandes. « Le métier va faire ma différence » confiait rassuré notre voisin de tribune.

Un final à couper le souffle

Mais à nouveau, cette belle confiance allait rapidement voler en éclat. Ristic retrouvé et Daquin omniprésent relançaient des Lyonnais. Et comme côté briochin, sans raison, le collectif n'existait plus, la sanction était immédiate. Le set décisif, au vu de l'implosion du groupe briochin s'annonçait périlleux. « Là on est à la rue et comme on n'a pas encore gagné un tie-break de l'année, ça va faire comme à l'aller, on va perdre 3-2 », pronostiquait notre voisin.

Les Lyonnais, dans la dynamique de leur quatrième set remarquable, jouaient le coup à fond et se retrouvaient rapidement en tête avec 5 points d'avance. À 9-5, au vu du collectif briochin qui multipliait les fautes, le match semblait plié. « C'est cuit », lâchait même complètement désabusé notre voisin. Peu de gens auraient en effet parié à ce moment sur un renversement de situation briochin.

Et pourtant, Radic, au service, allait dynamiter la réception Lyonnaise soudainement paniquée. Au point de réussir un 7-0 imprévisible. Les hommes de Djordjevic n'allaient en effet rien lâcher et dans une ambiance de folie, Monneraye signait le point gagnant (15-11). Les supporteurs pouvaient applaudir, même si les Briochins ont laissé un point dans l'affaire.

SAINT-BRIEUC - LYON : 3-2.

(25-18, 21-25, 25-23, 17-25, 15-11)

Arbitres : MM. Piget et Lecomte. 500 spectateurs.

SAINT-BRIEUC. Kornyienko 23, Radic 17, Radovic 11, Monneraye 17, Grimailovs 14, Weick 3. Libéro : Boriskevitch.

LYON : Daquin 17, Jambon 24, Rouve 1, Valefuaniu 8, Ristic 13, Alter 6, Milevov 1. Libéro : Rossillol.
source/ouest-france

Petit complément à la revue de presse du jour. Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM - Page 2 Icon_win

Dunkerque s'offre
un succès de prestige

DUNKERQUE - CHAUMONT 3-0 (25-19, 25-16, 25-21)

La bouffée d'oxygène prise à Brive (3-1), la semaine dernière, a semble-t-il libéré un collectif dunkerquois jusqu'ici inhibé par la pression.

Enfin libérés, les hommes de Gaël Bollengier ont « lâché les bras » au point de renvoyer le coleader à ses études. Tout simplement stupéfiant, comme leurs stats !

Gaël Bollengier lui-même osait à peine y croire. Ses hommes venaient de plier la rencontre en moins de 90 minutes et au beau milieu d'une euphorie comme Dewerdt n'en avait pas vécu depuis longtemps. L'entraîneur pouvait se lâcher. « C'est le match le plus abouti de la saison. Les joueurs ont joué sur leur vraie valeur et ont fait étalage de leur potentiel. Voilà le vrai visage de cette équipe. Elle a frôlé l'excellence dans tous les secteurs de jeu, tout simplement. » En effet, Chaumont n'a jamais vu le jour, pris à la gorge d'entrée par une équipe dunkerquoise agressive à souhait, d'une réussite insolente à l'attaque et tout simplement irrésistible. « On sort d'une période de doute et désormais l'équipe se libère. L'objectif, maintenant, c'est d'aller plus loin. En jouant de la sorte, on peut remonter au classement », ambitionne Bollengier.

En effet, cette démonstration de force a forcément mis l'eau à la bouche d'un collectif qui regarde à nouveau vers le haut même si le Top 5 s'est considérablement éloigné. Qu'importe ! « Un grand pas a été fait vers le maintien. Maintenant, il faut être capable d'enchaîner. Restons modestes, l'objectif sera d'aller le plus loin possible. » Offensivement, Dunkerque Grand Littoral a retrouvé une assise, notamment grâce à l'émergence de son pointu Luis Samuels, époustouflant de réussite (21 points, MVP de la rencontre). Le derby face à Cambrai, samedi prochain, devrait donc offrir une bataille de haut niveau. À l'aller, Lemaire et les siens étaient venus s'imposer à Dunkerque. On salive d'avance à l'idée des retrouvailles. •

BENOÎT VALQUE
source/La Voix des Sports

Cambrai prend sa revanche

ORANGE - CAMBRAI 1-3 (18-25, 19-25, 25-22, 17-25)

Une réception fragile, des services inefficaces et Elysée Ossosso dans un mauvais rythme, trois défauts de trop pour Orange.
C'est une équipe orangeoise insipide qui s'est fait martyriser par Cambrai et son pointu Radichkov.

Lies Tizi Oualou, lui, ne trouvait pas Ossosso (9-12) avant que Lavigne, Graulière et Pascual ne montrent à leur tour de la fébrilité (16-22). Meyer, oublié, n'avait plus qu'à conclure (18-25).

La leçon n'est pas retenue par les Vauclusiens. Cambrai, jamais mis en difficulté au service, put utiliser avec aisance ses deux tours Lemaire et Puljic qui se jouaient de Pourtalet, remplaçant de Strelhau au centre, ou de Zavorotjnis, transparent (2-8). Son altercation avec Laurent Chambertin, qui décidait de le remplacer par Tchouassi, montra qu'Orange n'était pas qu'inefficace mais aussi très nerveux et peu soudé (12-17). Après Ossosso et Tizi Oualou, c'est Pascual qui commit une nouvelle faute de trop (19-25).

Après les vestiaires, les débats furent plus équilibrés. Orange fit le premier break (10-8) mais Pascual offrit l'égalisation par une attaque dans le filet (10-10). Quand Lemaire attaqua dehors (18-17), Cambrai plia sur un missile de Meyer en dehors du terrain (20-17). Orange, plus équilibré avec Strelhau au centre, recommençait à y croire (25-22).

Mais Cambrai retint la leçon et, emmené par son complet Meyer, exceptionnel de réalisme, remit Orange sous pression (3-5). Quand Orange égalisa à 9-9, il y crut à nouveau. Mais, sans raison, il encaissa un impensable 7-0, Zavorotnjis, Ossosso ou Lavigne ratant trop souvent le terrain adverse (9-16). Cambrai avait réussi le plus dur, Gingreaun, Meyer et Puljic au contre finissaient le travail (17-25). •

HERVÉ ALBEAU
source/La Voix des Sports

Le Harnes VB intraitable

CANTELEU-MAROMME - HARNES 0-3 (16-25, 20-25, 22-25)

Encore loin d'être sortis d'affaire, les Artésiens, avec cette victoire en trois sets, renouent avec l'embellie entamée début février.

L'assurance semble être à nouveau passée du bon côté du filet. Bien peu d'erreurs étaient, en effet, à relever sur le parquet d'une équipe de Canteleu-Maromme de plus en plus translucide.

Pour la forme, on retiendra bien les quelques déchets au service, les mises en défaut sur les envolées à la mire de Vadim Evtoukhovitch et les traces de précipitation au cours d'un troisième set que les équipiers de Dillies n'auraient jamais imaginé être le dernier avant le lancement de ce match à six points.

Dès le premier set, profitant des nombreuses erreurs haut-normandes, Grégoire Capitaine et Lénaïc Pépin furent omniprésents au contre. De quoi laisser le temps à Gorokhov de trouver son rythme (16-25).

Face à des Cantilo-Marommais tétanisés au filet, le central se libérait à l'image de toute son équipe. Gorokhov piquait dans les 3 mètres et donnait une nouvelle fois six points d'avance (8-14). Piqûre et rappel de Pépin et de Capitaine (13-20) alors que Bouanda, décisif depuis l'entame, appuyait là où cela fait mal au poste 4 (15-23). Le tardif retour des hommes de Fabianczyk n'y changea rien (20-25).

Deux manches d'affilée c'est bien. Trois, c'était presque inespéré. Sauf que les Artésiens ont totalement pris confiance en eux. Et le semblant de révolte normande n'y changera rien. Après avoir, pour une fois, cédé l'avantage (13-12), Dillieset Bouanda reprirent la main et restèrent droits dans leurs genouillères pour ne pas passer à côté de l'exploit (22-25) qui pourrait bien sceller prochainement la sortie de zone rouge. Nancy n'est plus qu'à un point.
source/La Voix des Sports

Fabianczyk cherche encore…

La lourde défaite (3-0) à domicile de l'AL Canteleu/Maromme samedi soir face à Harnes n'arrange rien aux affaires d'un Wojtek Fabianczyk de plus en plus dubitatif.

En effet, samedi soir, il a fallu quitter son siège de la salle Calmat plus tôt que prévu. Trois sets à rien en à peine plus de 1 h 20 de jeu. Canteleu/Maromme à force de paniquer à fini par couler.

Sur le bord du terrain, Vladislav Mandic, celui que beaucoup attendaient à tort dès samedi soir sur le parquet pour amorcer la rémission de Morelle et consorts n'a pu que porter le maillot et assister au naufrage. « J'aurais voulu en être mais je comprends le choix de l'entraîneur (NDLR : Mandic rentre de six mois de convalescence pour rupture des ligaments du genou). C'est frustrant de voir cette équipe qui baisse la tête trop rapidement. On voit sur les visages qu'il n'y a pas de joie alors qu'autour le soutien est magnifique. »

Mauvais dans tous les secteurs

Mais les applaudissements nourris et le soutien sans faille répondant aux appels de Tihomir Polgar à peine débarqué en région rouennaise n'auront pas permis de rassurer des Cantilo-marommais totalement tétanisés à l'idée de mal jouer. Inévitablement, les fautes sont nombreuses et Wojtek Fabianczyk peine à trouver des solutions. Dès le premier set, il est contraint d'effectuer ses trois premiers changements. « A 12-7 il faut déjà que je change les choses, trouver le joueur qui pourra calmer les autres, stabiliser la situation. Quand un gars fait défaut passe encore mais là… »

Là ce sont toutes les phases de jeu qui pêchent. « Au service, à la réception, en contre comme en attaque on a tout simplement été mauvais. Quand ce n'est pas notre passeur qui est difficulté, ce sont les attaquants qui ne choisissent pas les bonnes options ou le serveur qui n'est pas assez agressif. On joue trop stressés. » Il n'y a bien qu'Evtoukhovitch (auteur de 13 points en tout) pour maintenir l'espoir jusqu'à l'emballage final du troisième set. « Quoi qu'il en soit c'est inacceptable de perdre à domicile sans se battre. » Le constat est amer mais le tacticien ne compte pas s'en exclure. « C'est aussi ma faute. On se bloque tous ensemble. »

« Mandic n'était pas prêt »

En clair, il lui reste deux mois pour remettre de l'huile dans les rouages quitte à changer les méthodes de travail. « J'ai autour de moi des joueurs très expérimentés, il n'y a pas de raison qu'ils perdent leurs moyens en match alors qu'à l'entraînement tout se passe bien. A moins, justement, que je ne les fasse trop travailler au point de les épuiser avant le samedi. Ce n'est qu'une hypothèse. Très franchement, pour l'heure je ne sais pas. Je ne comprends pas. »

Mais à sept journées de l'épilogue, il va falloir faire vite. D'autant que le retour du messie Mandic n'est peut-être pas encore pour le week-end prochain. « Je sais que beaucoup de personnes même au sein du club auraient voulu le voir jouer dès samedi. Je ne pouvais pas prendre ce risque sans l'exposer à une nouvelle blessure qui pourrait très bien l'éloigner des parquets pendant plus longtemps encore. Il n'avait pu participer qu'à quatre entraînements. Il n'était pas prêt. Peut-être dans deux semaines si cela se passe bien. » Il n'entrera peut-être pas en jeu à Lyon mais Mandic résume l'urgence. « Il nous faut au plus vite une victoire à l'extérieur. »
CHRISTOPHE FREBOU

A Canteleu, Harnes bat Canteleu/Maromme 3 sets 0 (25-16, 25-20, 25-22).
source/paris-normandie

la revue de presse de lundi, commence page précédente, par l'article sur le retour de dunkerque à son véritable niveau.....!

Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM - Page 2 P-O--7-03-10

source/

Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM - Page 2 Logopresseocean

/via le site du snvba

Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM - Page 2 ProBM_381

Journée 19 DUNKERQUE GL VB / CVB52 HM - Page 2 10_03_09Puljic

> Le 09-03-2010
Dragan Puljic contre la Ligue B

Homme providentiel de Cambrai, Dragan Puljic (photo : Arrêt sur Image) fait le bonheur de son club. En effet, il est actuellement le meilleur contreur de la Ligue B. Focus.

Auteur d'un début d'année 2010 flamboyant, Cambrai est une des grosses cotes du moment. Avec un total de 7 victoires en 9 rencontres, les gars du Nord ont affolé les compteurs et leurs adversaires à chacune de leurs sorties.

Et ce n'est pas le leader, Nantes-Rézé, qui dira le contraire puisque la formation de Loire-Atlantique a, elle aussi, subi la loi des partenaires de Dragan Pujlic. Celui-là même qui met à mal les attaques adverses.

Meilleur contreur de la Ligue B, le central croate de 2,06m avait d'ailleurs placé pas moins de 4 blocks aux n°1 de la division. Logique puisque le bonhomme tourne à une moyenne de 3,3 par rencontre et un total de 62 points inscrits.

Pas une paille quand on sait que les matches se gagnent de plus en plus sur ce genre de performances. Un joueur à suivre jusqu'à la fin de saison et peut-être un jour en Ligue A !

source/lnv

La mini mini revue de presse de ce mardi commence par l'article de presse océan.

Le HVB retrouve une réelle
étoffe à Canteleu

Les Harnésiens ont respecté le plan de jeu. Le Harnes Volley-Ball, pourtant attendu au coin du bois à Canteleu, s'est prémuni ...

avec raison et conviction d'une rechute au cours de la 19 e étape de la saison.

Petit à petit, le HVB refait parler de lui avec l'image associée de l'équipe en forme du moment. En intégrant à son entreprise de fin de semaine une mainmise d'école, le groupe artésien s'est ôté une belle épine du pied en domptant une équipe Cantilo-Marommaise sombrant quant à elle dans un doute avancé.

Un succès 0/3 qui lui donne une nouvelle bouffée et qui lui permet de voir un peu plus nettement le tracé du maintien, la barre étant redescendue à une petite unité. Nancy malgré une défaite honorable 2/3 face au leader nantais, reste en dehors de la boulle de souffre.

Cette fois, c'est une équipe de Canteleu-Maromme sans doute surprise par l'intensité livrée par le HVB qui s'est perdue dans un schéma nordiste tranché et parfaitement pensé. « Nous étions venus pour faire un coup. » témoigne d'ailleurs Alain Decaux, le vice-président des Claquots . « La trame d'avant match nous a bien aidé. Le plan de jeu a été très bien suivi par les gars qui ont su garder une très bonne approche et surtout ne pas donner trop de points. Il fallait s'efforcer de faire jouer cette équipe. » Une ligne directrice valorisée sur un jeu rapide dont les accoutumances au centre constituent depuis quelques semaines déjà une certaine marque de fabrique propre à la maison artésienne. « On ne devait de toute façon pas se louper. Contre un adversaire direct, il était impensable de relâcher le moindre point.
Collectivement, l'équipe a montré qu'il y avait un vrai état d'esprit positif. »

En grattant depuis l'amorce des matches retour de précieux pécules, le groupe de Marcelo Fronckowiak semble plus que jamais en mesure de s'inviter à la course au maintien et ce de manière récurrente. En bon disciple et plus que jamais partisan de la rébellion, Harnes entend en effet prôner l'application d'un dispositif inaltérable garant de sa réussite. Bien loin des arêtes rencontrées en début de saison et suffisant pour y croire un peu plus. •
S.R. ( CLP)
AL CANTELEU MAROMME VB - HARNES VB (Ligue B, 19e journée- : 0/3 (16/25, 20/25, 22/25).
source/la voix des sports

une petite video du match Dunkerque-Chaumont

http://www.videos.ville-dunkerque.fr/ac ... 10-sports/

Ton lien ne semblant pas fonctionné, voici celui que j'ai trouvé: http://www.videos.ville-dunkerque.fr/liste/categories/id7-sports/

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