Journée 26 CVB52 HM / HARNES VB

Salut tout le monde,
à quel moment voyez-vous des erreurs d'arbitrage qui font basculer le deuxième set ?
Voici ce que je vois.
En début de deuxième set, je vois une contestation de Harnes sur une balle non franchie de PATUCHA (à 2-1).
Il y a une pénétration de Dillies que le joueur conteste (dans le deuxième également).
A 9 à 6, il y a une attaque petite diagonale de lomakins jugée bonne que le coach juge mauvaise (second set).
A 19 partout, il y a une pénétration de Aivars dans le deuxième.
Ensuite, le coach de Harnes conteste le score au tableau d'affichage que la table de marque corrige (24-23 contre 23-23 score corrigé).
Salut.
Yvan.

Moi je n'en vois qu'une.
Une balle out donnée bonne par juge de ligne et pour la marque puisque c'est de moi qu il s'agit, je rappelle que ma feuille est bonne mais que j ai JUSTE (par précipitation ou maladresse) mal appuyé sur la touche point pour Harnes (à ce moment il y a 21/22 au tableau), on joue le point ca doit faire 21/23 pour Harnes et le point suivant va à Chaumont donc 22/23 mais le tableau affiche 22/22 mais à ma feuille j ai bien 22/23 HARNES. Je corrige et tout rentre dans l'ordre.
Aprés le lancée de bequilles de Marcello etait un peu exageré je trouve surtout qu il veanit de prendre un carton jaune 2 min avant!

Jéjé a écrit:

Comme il a été dit les objectifs du club ont été complètement réalisés à savoir le maintien en Ligue B, la montée en Ligue A aurait été le bonus final. Très bonne soirée (avec des supporters harnésiens qui n'ont rien lâché pour soutenir les siens ) jusqu'à l'annonce par le speaker de la victoire de Nantes sur Cambrai par trois sets à zéro .

Quoi qu'il en soit, ce fut notre meilleur saison car on termine deuxième derrière nos "bourreaux" nantais (et Leiloo ne t'énerves pas je ne dit pas ça méchamment ).

Un énorme merci à nos joueurs , entraîneur , dirigeants et supporters pour cette très belle saison tout de même. Rendez-vous la saison prochaine avec toujours la même passion pour notre club et comme dit Fofi nos samedis soirs risquent maintenant d'être fades. Vivement le mois de septembre et son lot de matchs amicaux.

T'inquiètes je ne le prends pas mal du tout ! j'ai juste été un peu agacé par moment par quelques messages ou remarque que je trouvais déplacés. Mais ce n'était que mon avis. Rien de grave !
Maintenant, sans fanfaronner, je pense que le plus régulier l'a emporté au final, même si les 2 équipes étaient vraiment du même niveau, je vous souhaite de faire encore une grosse saison l'année prochaine et de monter car votre club le mérite...

Salut Leilo 44,
gardez bien votre passeur.
Sur la saison, c'est l'incroyable régularité et les qualités d'opportunisme de Nantes que me font dire qu'ils étaient meilleurs que les chaumontais.
Salut.
Yvan

Parti de trop loin,
Harnes perd son équilibre
et redescend d'un étage

La saison du HVB s'est terminée dans la douleur ce week-end. Défait face à Chaumont , l'équipage artésien n'a pu rester amarré à bon port, coulant 3 sets à 0. La Ligue B ferme donc ses portes devant le nez des Artésiens.


Une défaite prévisible sur le papier (Chaumont luttant encore ardemment pour le titre) mais qui a posteriori pouvait faire rager sur l'incidence générale, Nancy ayant été dans le même temps torpillé par Dunkerque (3/1).

« Nous avons lutté mais en face Chaumont s'est montré plus solide et moins inhibé que nous par rapport à l'enjeu, notait Jacques Cuvillier. Nous avons commis beaucoup trop d'erreurs pour espérer pouvoir renverser la tendance. C'est au niveau du duel service-réception que nous avons flanché. Il aurait fallu être un cran au-dessus pour espérer plus même si ce n'est pas sur ce match que viennent poindre nos plus grands regrets. »

Tension

Chaumont (avec une oreille collée au transistor), qui espérait une sortie de piste de Nantes pour viser le titre, a ainsi joué son rôle d'arbitre sans se poser de question. « Nous aurions pu sans doute espérer autre-chose si nous avions mieux négocié le deuxième set notamment à 22/23. Mais nous nous sommes inutilement énervés et dispersés. » Une manche à tension extrême qui vit même Marcelo Fronckowiak être expulsé.

Le technicien brésilien victime d'une entorse à la cheville en milieu de semaine et d'une fracture du péroné fut en effet évincé pour... jet de béquilles !

« Points bêtement perdus »

Au final, même à égalité de points avec Nancy (12e), le HVB se voit relégué pour un nombre de victoires bien insuffisant (+ 3 pour les Lorrains). Une situation qui ne peut que nourrir des regrets tant la phase retour des Harnésiens fut de toute beauté. « Si on calcule le nombre de points bêtement perdus, le nombre de matches lâchés au tie-break, ça fait beaucoup. Le maintien, nous l'avons perdu bien avant sur d'autres rencontres pourtant dans nos cordes. » Alors que le HVB visait plus que symboliquement à garder son statut au sein de l'antichambre de la Ligue A avec un positionnement « entre la 8 e et 10e place », il doit dorénavant se pencher sur son prochain avenir.

Les réunions planifiées cette semaine devraient apporter quelques éclaircissements. • SÉBASTIEN RENAUT (CLP)



CHAUMONT VB 52- HARNES VB (Ligue B, 26e journée) : 3/0 (25/18, 25/23, 25/19).
source/La Voix des Sports

Volley-ball :
La montée de Nantes-Rezé,
étonnante et logique à la fois

Ligue B. Le NRM, surprenant promu, est allé chercher une deuxième montée consécutive à Cambrai, samedi soir. Les clés de sa réussite.

Le recrutement

Pour sa première saison en Ligue B, le NRM avait misé sur des joueurs aguerris du championnat de France (Bosqui, Moussa), sur un « vieux routier » (Eric Martin), sur des étrangers (Repak, Salon, Ondrusek, Pribanovic) et des jeunes en progression (Lof et Vel). Un patchwork aux coutures incertaines, a priori. Mais Martin Demar ne l'a pas constitué le nez au vent. L'ancien coach d'Opava avait déjà dirigé certains joueurs, et n'ignorait pas que certains avaient déjà joué ensemble. Au final, cela a donné, « une belle équipe » selon Demar lui-même. « Un groupe fort et sain », pour Thierry Rose.

Le mental

Nantes-Rezé n'a pas forcément été l'équipe la plus flamboyante de ce championnat. Certains s'appuyaient sur des individualités spectaculaires (Rybnicek à Chaumont, Radichkov à Cambrai...), mais un fonds de jeu moins évident et, surtout, une moindre constance dans la concentration et la combativité. Philippe Axelos, dirigeant qui en connaît un rayon sur ce sport éminemment psychologique cite un exemple qui en dit tellement long : « Nous avons joué 5 tie-breaks dans la saison, tous remportés. Chaumont en a joué 6 et gagné seulement deux. »

L'absence de blessure

En faisant le choix d'un groupe resserré, tournant essentiellement autour de 8 joueurs, le NRM savait qu'il n'avait pour ainsi dire pas de plan B. Au final, quand certains, à l'image de Saint-Nazaire, ont été plombés par les blessures, le promu est passé au travers. Seul Moussa a fait défaut sur un match en raison d'un problème personnel. C'était contre Cambrai, à l'aller, avec... une défaite à la clé. Bien sûr, on peut parler de chance. Mais peut-être peut-on aussi attribuer à Martin Demar, Jérôme Berger et au médecin du club, le mérite d'une bonne gestion de la préparation physique et du suivi.

Les Martin

Au NRM, y'a plus d'un as qui s'appelle Martin. Repak a marqué ce championnat de son empreinte. Le passeur slovaque a incontestablement tiré l'équipe vers le haut, en imprimant un rythme rapide et une variété sans jamais céder en régularité. Mais il ne fut pas le seul Monsieur plus. Il y a également eu un autre Martin, Eric en l'occurrence, véritable stabilisateur de ce secteur clé qu'est la réception. Et enfin bien sûr, Martin Demar. Revenu en France « pour se faire un nom en tant qu'entraîneur », il a d'ores et déjà réussi son pari. Avec un coaching souvent gagnant. Un exemple, un seul ?
Samedi soir, Ricky Vel a marqué un point, un seul. À son entrée, à 22-23 au premier, moment clé. Il s'est éteint par la suite, sans cet écot opportun... ?

L'entente

Le NRM est une entente, au sens structurel, c'est entendu. Ça ne signifiait pas pour autant que tout le monde allait véritablement s'entendre, au plan humain. Or, chacun y met du sien. Certes, c'est plus facile quand ça roule sportivement, mais ce club semble vivre au-dessus des problématiques d'ego. Cela n'empêche pas le franc-parler, voire les coups de gueule. « Certains se sont parfois écartés, résume ainsi Jérôme Berger. Mais le groupe a toujours su les ramener à lui. »

Pierre-Yves ANSQUER.

Cambrai - Nantes-Rezé : 0-3 (22-25 en 27' ; 24-26 en 28' ; 18-25 en 22'). Arbitres : MM. Troesh et Demiselle. 700 spectateurs.

source/Ouest-France

une vidéo qui revient sur la trés belle saison de Nantes.

http://www.nantes7.fr/emission/sport_7-4651/


source/le site du nrmv

Vieille lune

Maintenant que c’est terminé, on peut bien en parler.

Ca fait mal au bide mais l’impression qui domine est que l’on s’est fait un peu enfumé sur la fin de saison dernière.

Attaquons bille en tête. Comment se fait-il que notre meilleur joueur de toute la saison dernière offre des performances aussi ordinaires lors de ces quatre dernières confrontations ? RIBA avait tenu la maison et c’est lui qui sortait des fins de matchs à crever le ballon pour nous dégager de l’ornière quand ça se passait mal. Le pointu chaumontais figeait son visage dans le marbre et transformait son fluide intérieur en énergie salvatrice sur le terrain.

Dernier match énorme. A Asnières où le golgoth tchèque passe 29 points aux banlieusards. Après, c’est de mal en pis.

D’abord St Brieuc. Un match moyen en deux temps. Des points sur un set et puis plus rien ou pas grand-chose.

Prestation encore plus ordinaire à Canteleu où un grand Jiri CEHRA suffira à dominer une équipe à l’agonie.

Puis vint Nancy à domicile. Face à des lorrains survoltés, RIBA sort la panoplie de la roue crevée. Pas d’envie, des attaques pistolet à eau et toujours l’expression de ce visage dont on ne devine rien sauf qu’on est en train de perdre. Les remplaçants sont là pour remonter la pente et faire durer la « success story » commencée 6 mois plus tôt.

Parlons enfin de Nantes où sur les deux premiers sets, l’équipe se met au diapason de son leader avec le moral d’un élève de sixième un jour de rentrée. La suite est anecdotique puisque l’essentiel avait été assuré pour nos rivaux.

Si l’on pense que d’autres joueurs avaient offerts des prestations moyennes pendant cette même période, on se console en se disant que nous n’étions de toute façon pas à la hauteur pour prétendre à l’accession à l’élite.

Là où le doute s’installe, c’est lorsque l’on connaît les liens qu’entretenaient notre pointu avec le coach Nantais Martin DEMAR. L’un avait entraîné l’autre la saison précédente. Coup de chance pour le pointu chaumontais, il se voit proposer un contrat quelques mois plus tard par son ancien entraîneur pour jouer en ligue A avec les nantais.

En politique, on aurait appelé cela un conflit d’intérêt. En sport, c’est une logique de survie. Pourquoi RIBA se serait-il investi dans cette fin de saison en sachant qu’il n’avait pas la certitude d’être repris une année supplémentaire ! Dans les vestiaires de Nantes, un maillot était peut être déjà floqué pour lui depuis début avril et la seule question était de savoir quand il devait lever le pied.

Depuis, LAVAGNE et SOLLEILLAND ont également rejoint les rangs de l’équipe nantaise sans que la combattivité de ces deux joueurs n’ait jamais été mise en cause.

De toutes les façons, est-ce qu’il s’agit de la première fois que le jeu des contrats entre équipes rivales savonnent l‘élan vers les sommets des meilleures équipes ?
Sûrement pas mais la chanson dit que nous sommes des « foules sentimentales » et que nous avons « soif d’idéal ». Une deuxième dit aussi : « mon premier, c’est désir. Mon deuxième, du plaisir. Mon troisième, c’est souffrir et mon tout fait des souvenirs ».

Ca ne vous fait pas penser à la saison du CVB.

Puisse cette vilaine histoire nous guérir de nos croyances naïves sur l’honneur et l’amour du maillot au motif que le sport de haut niveau fait chavirer nos coeurs.

C'est vrai qu'y a de quoi se poser des questions. Il a vu sa carrière avant les "ambitions" du club (je sais l'objectif original de la saison dernière était de terminer dans les sommets du classement mais pas forcement de monter en Ligue A mais bon...). Maintenant voilà ça c'est passé comme ça et pis c'est tout. On est sûrement pas les premiers à qui ça arrive et probablement pas les derniers aussi. Tournons nous plutôt vers la nouvelle saison. ALLEZ CVB !

Ola, vous y allez fort avec Ryba!!!!
Pas trés sympa tout ça.
RYBA et les autres ont fait leur boulot. Le volley et un sport d'equipe et non un sport individuel.Et donc onne peut tenir pour responsable qu'une seule personne. Ils ont tous failli à un moment ou à un autre!. On n a pas à chercher un coupable ou un responsable. On ne devait pas monter un point c'est tout.

Je suis d'accord avec toi SEV que c'est un sport d'équipe (...) mais si ce qui est dit par Yvan et est confirmé par quelques autres (attention, je ne juge pas puisque je n'étais pas là pour voir...) est vrai, je trouve cela grave! Si une place lui a été promise à Nantes avant la fin de la saison et qu'il s'est soudain mis à "mal jouer" pour permettre à Nantes de monter, pour moi cela s'apparente à du sabotage... Ce qui n'est pas forcément très loyal ni même "légal" je dirais!

Aprés analyse de fin de saison, il est vrai que sur les 4 derniers matchs, il fut un ton en dessous, sur les 2 premiers sets a nantes inexistant (des fautes au 3 mètres , inhabituelles...) puis il se retrouve dans les 3 derniers mais il était dèjà trop tard car Nantes avait remporté les 2 premiers mais ceci n'est que mon analyse et l'on ne saura jamais le fin mot de l'histoire malgré tout souhaitons lui une bonne saison.............

Je préfere rester sur mon idée et me dire que la saison a été longue et qu'il a eu une baisse de régime.
Je veux garder une bonne image de Ryba. et je lui souhaite bon courage et bonne chance à Nantes.

Je vous trouve un peu dur avec Ryba, car il reste l'un des meilleurs pointus que le cvb est eu dans son effectif. C'est peut être faire un petit raccourci que de rejeter la faute sur ryba, sur l'échec trés relatif de la fin saison du CVB. Fin de saison plombée par la défaite rédhibitoire contre Saint-Brieuc à domicile, et antérieurement par la défaite au match aller contre Nantes. La saison du CVB était trop belle pour que les souvenirs soit entachés de suppositions, auxquelles nous aurons jamais de réponses.

Merci Taylor.

taylor a écrit:

Je vous trouve un peu dur avec Ryba, car il reste l'un des meilleurs pointus que le cvb est eu dans son effectif. C'est peut être faire un petit raccourci que de rejeter la faute sur ryba, sur l'échec trés relatif de la fin saison du CVB. Fin de saison plombée par la défaite rédhibitoire contre Saint-Brieuc à domicile, et antérieurement par la défaite au match aller contre Nantes. La saison du CVB était trop belle pour que les souvenirs soit entachés de suppositions, auxquelles nous aurons jamais de réponses.

entièrement d'accord avec toi Taylor, la seule réponse que l'on a et qu'il est bien à Nantes cette saison et je te confirme que pour moi il fût certainement à ce jour le meilleur pointu du CVB

SEV a écrit:

Je veux garder une bonne image de Ryba. et je lui souhaite bon courage et bonne chance à Nantes.

Oui c'est vrai qu'après tout nous ne saurons jamais le fin mot de l'histoire et comme toi je préfère en garder une bonne image car finalement nous avons réalisé une très belle saison. Bonne chance à toi Ryba avec les Nantais.