Journée 18 MARTIGUES VOLLEY BALL / CVB52 HM

Allez, passons à autre chose, c'est certe une déception, mais le match de coupe a du laissser des traces, la fatigue plus l'erreur du premier set, à 2/0 celà devenait compliqué face à une équipe en pleine confiance, le match de samedi devient capital avant les deux déplacements à Saint-Brieuc et Alés.

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Le 26-02-2011
18e journée Ligue BM, les matches

Beaucoup de changements en tête. Avignon reprend le leadership devant Chaumont et Lyon, revenu à la deuxième place. Narbonne est en embuscade. Asnières double Cambrai. Martigues se rapproche. Derrière, excellente opération de Saint-Brieuc.

Après sept victoires d'affilée, Chaumont s'est effondré à Martigues. Les coéquipiers du passeur Yoann Jaumel ont survolé la partie grâce à un bon service-réception et un contre efficace. Avec ce cinquième succès d'affilée, les Sudistes sont plus que jamais en course pour la cinquième place. En revanche, les Chaumontais laissent la place de leader à Avignon, difficile vainqueur d'Orange. La course à la première place reste ouverte mais les coéquipiers de Thomas Lamoise ont pris une petite option.

Sérieux et concentrés, les Lyonnais portés par Srdjan Ristic, auteur de 20 points, et Dominique Daquin (13 points, 6 contre) ont fait le métier face à la jeune garde du CNVB. Après trois défaites, les voici relancés dans la course à la première place. Narbonne poursuit sa montée en régime en prenant le meilleur sur Dunkerque. Les 20 points d'Andrej Patuc et les 16 (17 au total) de Marcilio Braga en attaque ont endigué l'enthousiasme des Nordistes.

Asnières accumule aussi les succès en s'imposant dans le derby francilien face au Plessis-Robinson. Dans le sillage de Miguel Garcia (18 points), les locaux n'ont jamais tremblé même lorsque le promu a empoché la troisième manche. Ils reprennent la cinquième place à Cambrai qui a chuté dans sa salle face à Saint-Brieuc. Menés 2 manches à 1, les Bretons n'ont jamais lâché avant de dominer complètement le tie-break. Une victoire qui leur permet de distancer la zone de relégation.

Nancy et Alès se sont livrés une partie serrée et intense. Plus frais et plus agressifs à l'image d'Enderwuin Herrera (24 points), les Gardois ont eu le coup de rein nécessaire pour signer une victoire qui ne les élimine pas de la course au Top 5.

Résultats
Samedi
Lyon 3/0 CNVB (25-18, 25-12, 25-19)
Orange 2/3 Avignon (22-25, 22-25, 25-13, 25-21, 13-15)
Dunkerque 1/3 Narbonne (23-25, 13-25, 25-21, 15-25)
Martigues 3/0 Chaumont (25-17, 28-26, 25-20)
Cambrai 2/3 Saint-Brieuc (22-25, 25-23, 25-20, 23-25, 8-15)
Asnières 3/1 Plessis-Robinson (25-23, 25-19, 20-25, 25-18)
Nancy 2/3 Alès (25-23, 22-25, 19-25, 25-18, 11-15)
source/lnv

Le CVEC, battu à domicile,
lâche du lest dans la
course aux play-offs

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Geoffrey Meyer et le CVEC ont souffert hier
soir face aux Briochins.
PHOTO: MARIE PEREIRA

« Ce ne sont pas des "rigolos" » avait prévenu dans la semaine Ratko Peris. Et force est de constater que le technicien ne s'était pas planté. Hier soir à Vanpoulle, les Cambrésiens ont en effet concédé leur septième défaite de la saison face à une équipe de Saint-Brieuc vraiment pas à sa place au général (11e)

Malgré une bonne entame de Moulinier et consorts (3-1), les Briochins n'allaient pas tarder à prendre la mesure des Nordistes en bousculant leur réception (6-8 9-11). Dès lors, le collectif breton prenait ses aises et poussait les Nordistes à la faute (10-14). Et quand Brouck portait l'avance des siens à +6 (11-17), ça se compliquait sérieusement pour le CVEC, qui s'inclinait finalement logiquement (22-25) malgré un retour intérressant (19-21 22-23).

Radichkov montant en puissance, les trois blocks de Puljic d'entrée de deuxième manche (2-0, 5-1) servaient alors de détonateur. Derrière, le pointu du CVEC se déchaînait (8-4, 12-4). Mais l'orage passé, les visiteurs recouvraient leurs esprits. Deux blocks consécutifs de Weyl et Boriskevitch (15-10) regonflaient même le moral des troupes. Et dans un match où les défenses allaient se mettre à briller, les Briochins, un ton au-dessus au service, allaient combler leur retard (18-13, 21-18)... Avant de faire trembler Vanpoulle quand deux aces de Boriskevitch, suivis d'une attaque "out" de Grimaïlovs, leur permettaient de revenir à 24-23. Heureusement pour Cambrai, l'ancien protégé de Djordjevic se rattrapait au block (25-23) Au retour de la pause, les deux équipes ne baissaient pas de rythme. Dans un match toujours aussi disputé (1-4, 10-8), la nervosité commençait même à gagner les rangs des Nordistes. Mais la bande à Peris n'allait pas craquer. Quand Lemaire contrait Tartero (16-13), Radichkov profitait, en effet, d'un faux pas de Boriskevitch pour enfoncer le clou (18-13). Suffisant cette fois, pour gérer la fin de set (25-20).

Sous la pression du résultat, le CVEC ne baissait cependant pas la garde (4-2). De toute façon, les Briochins ne leur en laissaient pas le choix (5-5). Et les deux équipes allaient continuer à se rendre coup pour coup (10-7, 14-14), offrant au passage un superbe spectacle... qui allait néanmoins s'éterniser et tourner au vinaigre pour le CVEC. Malgré deux breaks en leur faveur (17-15 puis 22-20), les Cambrésiens allaient subir les assauts de Weyl (22-23) et Belhache (23-25). Et dans la manche décisive, un nouveau block de Weyl (1-3) allait les assommer (8-15). Une bien mauvaise opération avant d'enchaîner Chaumont (1er), Narbonne (2ème) et Avignon (4ème). •

FABRICE BOURGIS

CAMBRAI VEC - SAINT-BRIEUC CAVB : 2-3 (22-25 en 27'; 25-23 en 28'; 25-20 en 25'; 23-25 en 27'; 8-15 en 13').
source/la voix des sports

Narbonne trop fort pour Dunkerque

Vaincus, les Dunkerquois ne pouvaient rien faire contre Narbonne. Pourtant dans la première manche, les joueurs de Gaël Bollengier se montraient bien organisés et restaient aux basques de leur visiteur. Mais la puissance physique des Narbonnais faisait finalement la différence, d'autant que les Dunkerquois commettaient beaucoup d'erreurs.

La seconde manche était du même crédo. Les Narbonnais bougeaient leur hôte qui allait totalement sombrer pour s'incliner 13-25. Avec la volonté d'oublier ce passage à vide, le DGL revenait plus conquérant. Si les débats s'équilibraient, Dunkerque s'envolait en fin de set et réduisait la marque.

Ce sursaut n'était que feu de paille. Trop forts, les Narbonnais en remettaient une couche dans le dernier set et empochaient la victoire, en toute logique. « On a bien tenu pendant deux sets mais on manque de constance. Le positif, c'est l'orgueil. On a su revenir au troisième. J'aurai aimé qu'on fasse pareil au quatrième mais on est vite menés. Puis la confiance s'estompe.
Ils étaient plus forts que nous » reconnaissait l'entraîneur maritime. •

MAXIME COMBE

DUNKERQUE - NARBONNE : 1-3 (22-25, 13-25, 25-21, 15-25).

DUNKERQUE : Koné 3, Jeanlys 15, Pépin 6, Ondrusek, Keita 6, Chiapetti 14, Gosselin 1.
source/la voix des sports

La lanterne rouge éclaire le ciel asuliste

Asul - CNVB Montpellier : 3-0

A Lyon, Petit Palais des Sports de Gerland, Asul bat CNVB 3 sets à 0 (25-18 en 25‘,25-12 en 20’ et 25-19 en 25‘) Arbitres Mrs Guevenoux et Rejaeya; environ 300 spectateurs

Asul : Jambon J. (9 pts), Ristic (20), Mihaylov (3), Daquin (cap.) (13), Valefuaniu (7), Hominal (2), Rossillol (lib.) puis Alter (1), Clement.

CNVB : Lalouette (1), Duee (lib), Brucker (Cap.) (1 , Demirovic (8), Accambray (9), Le Goff (7)Rabiller (5) puis Talia (3) Oriol, Daniel.

Après quatre défaites consécutives, l’Asul s’est rassuré hier soir en disposant facilement d’une équipe du CNVB jeune et trop inconstante pour inquiéter les lyonnais.

Largement supérieurs dans le jeu, les lyonnais ont eu le mérite de rester sérieux et appliqués tout au long de la rencontre.

D’entrée de match l’Asul affichait sa supériorité et se détachait rapidement au tableau d’affichage (13-9). Le CNVB parvenait bien à réagir par Talia ou Accambray mais de façon trop épisodique pour réellement revenir dans le match (16-14). Deux blocks coup sur coup de Daquin permettaient aux locaux de se détacher définitivement (20-16) et l’Asul décochait tranquillement la première manche (25-18).

La deuxième manche démarrait sur le même rythme et rapidement l’Asul se détachait de manière significative (11-6). Malgré les changements d’Eric Daniel et les éclairs de Talia, les jeunes Montpelliérains, incroyablement fébriles en réception, lâchaient totalement prise (19-10) et comme dans le premier set, Oriol, l’ancien Asuliste, offrait la manche sur un service trop long (25-12).

Les lyonnais, sans doute un peu trop confiants, se montraient moins tranchants en attaque au début du troisième acte et le CNVB en profitait pour rester au contact (9-9). Chalendar était obligé de demander un temps mort (11-12) pour rappeler ses joueurs à l’ordre et rapidement l’Asul reprenait les rênes du match (16-14) mais le CNVB ne lâchait rien et recollait au score (18-18). Avec beaucoup d’assurance les coéquipiers de Daquin terminaient le match sur un 6-1 et empochaient trois points bienvenus dans la course au titre (25-19).

Un succès prévisible mais que Fabrice Chalendar, le coach lyonnais appréciait à sa juste mesure : « Je suis satisfait, les joueurs ont fait un match sérieux et appliqué. Le contrat est rempli avec ces 3 points et maintenant il va falloir préparer le match de la semaine prochaine face à Plessis Robinson qui s’annonce beaucoup plus difficile. »
source/le progrés

Alès a joué à se faire peur

NANCY 2 ALÈS 3
Évolution du score : 25-23 (28'), 22-25 (28'), 19-25 (26'), 25-18 (20'), 11-15 (18').

Au coup d'envoi, un seul point séparait les deux formations. Mais les Maxévillois n'ont pas à rougir de ce revers car au niveau budget, les deux clubs ne combattent pas dans la même catégorie.

Mais malgré la vitesse d'exécution du Vénézuélien Herrera Chourio, les Cévenols ne parvenaient pas à se défaire de leurs hôtes qui pouvaient s'appuyer sur les plateaux de Lacombe pour construire leurs mouvements. Les aces de Kerboua et les contres du tandem Bezdéka-Kiciak offraient aux locaux cinq balles de set (24-19). Les Sudistes en sauvaient bien quatre, mais Kiciak forçait le destin (25-23). La machine alésienne allait se mettre en

branle sous la férule de Kaminski qui avait suppléé sur le terrain un Banchev fantomatique. L'apport du géant polonais redonnait confiance aux Cévenols. Mis à part quelques belles prises d'initiative d'Hentzen et de Kiciak, le Nancy volley ne tardait pas à voir s'échapper les Alésiens. Les secondes mains du Canadien Davidiuk et les mines du duo Kaminski/Herrera-Chourio fracassaient le parquet de Marie Marvingt (11-14). Toutefois, Podgorski mettait au moment opportun le nez à la fenêtre pour remettre les pendules à l'heure (17-17). Mais dans le final, les erreurs jarvilloises se payaient au prix fort (19-25). C'est alors que Dumortier lançait Attivi dans la bagarre. De nouveau percutants au filet et vicieux au service, les Lorrains ne laissaient pas Alès reprendre son souffle (13-8, 17-10 puis 25-18).

Les Gardois, qui n'avaient pas encore gagné le moindre tie-break de la saison, devaient vaincre le signe indien dans une manche décisive au cours de laquelle Nancy a eu sa chance (5-3 puis 8-7). Mais Kaminski et Farjaudon signaient un 4-0 rédhibitoire (11-15).Une victoire nécessaire en vue des play-off.
source/midi-libre

La revue de presse de dimanche commence par le résumé de la LNV.

Les Dunkerquois n'ont pas eu
leur mot à dire

DUNKERQUE - NARBONNE 1-3 (22-25, 13-25, 25-21, 15-25)
A L'IMAGE des deuxième et quatrième sets, les Dunkerquois n'ont rien pu faire contre Narbonne et s'inclinent, sans qu'il n'y ait rien à redire.

Pourtant, l'équipe maritime s'accrochait et rivalisait avec son adversaire dans la première manche. Mais quelques erreurs venaient anéantir ces efforts, face à un adversaire plus costaud. Ainsi, la première manche fuyait les joueurs de Gael Bollengier (22-25).

Peut-être abattus par ce scénario, les Dunkerquois se montraient totalement dépassés dans la deuxième manche. Rapidement mené, (4-10), le DGL ne trouvait pas les solutions et sombrait. L'écart augmentait sous le regard impuissant de l'entraîneur Gael Bollengier. Une classe d'écart séparait les deux équipes et Narbonne empochait la manche (13-25)

Les points s'envolent

Alors que l'on pouvait penser que les Audois allaient continuer de dérouler pour s'imposer en trois sets, les Dunkerquois démontraient une belle réaction d'orgueil dans la troisième manche. Soucieux de montrer autre chose, ils profitaient des espaces narbonnais, peut-être trop confiants, pour prendre le dessus. Dunkerque passait devant à 11-10 et ne laissait plus revenir son adversaire, empochant le set (25-21).

Mais l'espoir d'empocher un point allait rapidement s'envoler. Les Narbonnais reprenaient leur marche en avant. Ils menaient rapidement à la marque et étouffaient à nouveau leur hôte. Le DGL tentait tout d'abord de résister mais allait finir par craquer pour s'incliner en quatre sets (15-25). Une déception pour Gael Bollengier, même s'il faut reconnaître que l'adversaire était simplement trop costaud.

« Ils étaient plus forts que nous, on manque de constance. Au quatrième set, nous sommes vite menés et la confiance s'estompe », avoua l'entraîneur maritime. De son côté, Jean-Marc Biasio était évidemment ravi. « C'est difficile de dire qu'on est en danger mais ce n'est jamais facile de jouer ce genre d'équipe, indiqua l'entraîneur narbonnais. Dès qu'on laisse un espace, elles s'y engouffrent. » •

M. C.
source/La Voix des Sports

Cambrai surpris par Saint-Brieuc

CAMBRAI - SAINT-BRIEUC 2-3 (22-25, 25-23, 25-20, 23-25, 8-15)
Si, de prime abord, la défaite (2-3) des Cambrésiens face à Saint-Brieuc qui lutte pour le maintien, ressemble à une mauvaise opération, ce point pris face aux Bretons pourrait finalement s'avérer très intéressant au décompte final.

Pourquoi tant de bonté avec les Bleus ? Tout simplement parce que Saint-Brieuc a offert une prestation digne de celles offertes par des équipes du calibre d'Asnières ou... de Cambrai, deux collectifs à la lutte pour le quatrième et dernier billet encore en jeu pour une participation aux play-off. Le quatuor de tête étant quasiment hors d'atteinte.

Si les Briochins parviennent, en effet, à maintenir ce niveau de jeu jusqu'à la fin de la saison dans ce championnat complètement fou, alors ce point pourrait vraiment peser lourd. Saint-Brieuc devant encore affronter Alès, Nancy et... Asnières, trois équipes toujours concernées par cette cinquième place.

Trop rapidement privés de leur passeur habituel, Kvesic, les protégés de Ratko Peris ont donc souffert. Bousculés en réception, un ton en dessous au service, ils auraient néanmoins pu l'emporter. Quand Grimaïlovs faisait le break (17-15) dans la quatrième manche, le CVEC, qui menait alors 2-1, semblait bien parti pour conclure. Mais à 23-23, une réception litigieuse de Brouck, validée par l'arbitre de chaise, alors que la salle réclamait un rebond au préalable, allait changer la donne.

Derrière, Radic concluait, au grand dam de Cambrésiens désabusés, qui voyaient finalement s'échapper le set sur un block de Delpech (23-25). Échaudés avant d'attaquer la manche décisive, les Nordistes venaient de laisser passer leur chance (8-15). •

F. BOURGIS
source/La Voix des Sports

Tie-break enfin gagnant

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Herrera Chourio, marqueur N°1 avec 24 points.
Photo ALEXIS BÉTHUNE

Il y a comme cela des équipes qui vous réussissent. C'est le cas de Nancy. Venu en leader à Alès, à l'automne dernier, le club lorrain avait rapidement baissé pavillon (3-0). Samedi dans leur salle, les joueurs de l'Est ont connu un sort identique, toujours contre ces mêmes Cévenols. Un adversaire face auquel les hommes de Luc Marquet se sentent si à l'aise qu'ils en ont profité pour remporter leur premier match de la saison en cinq sets.

Une rencontre au cours de laquelle l'entraîneur alésien a d'abord tenté de se passer des services de Michal Kaminski, le pointu polonais qu'une grippe avait éloigné de l'entraînement tout au long de la semaine. Mais l'expérience tentée avec le très polyvalent Kristyian Banchev ne donnant pas les résultats espérés, il a assez vite fait appel à son attaquant habituel. Celui-ci, bien que convalescent, a rendu une belle feuille de stats avec 22 points et près de 60 % d'efficacité. L'homme du match côté alésien fut cependant Enderwuin Herrera Chourio, qui a signé près du quart des points de son équipe. Des performances dont on attend la répétition. Car Alès cherche encore la régularité dans ses résultats.

Si le Cac reste ainsi sur deux succès consécutifs loin de la halle des sports de Clavières, il a aussi enchaîné deux revers de suite devant ses supporters. Une mauvaise habitude avec laquelle il doit absolument rompre ce prochain samedi, en recevant Saint-Brieuc. Histoire d'entretenir toujours le mince espoir d'être des play-off.
source/midi-libre

Un épilogue inéluctable

ASNIÈRES - LE PLESSIS-ROBINSON 3-1

Asnières est resté sur sa dynamique positive (3e succès consécutif) en remportant le derby qui l’opposait au Plessis-Robinson, qui reste scotché au 10e rang, Les Asniérois en profitent pour revenir à hauteur de Cambrai (5e). « Ça nous permet de rester dans la course au play-off, se réjouit Cyrille Boulongne-Evtouchenko.

Pour autant, malgré la différence au classement, ce match a été difficile. » « Je suis frustré par le résultat, mais aussi parce qu’on n’a pas respecté les consignes, souligne, lui, Jonathan Santer côté Plessis-Robinson. On répète chaque week-end les mêmes erreurs! J’espère qu’un jour on retiendra la leçon… »

WILHELM SONGEONS

source/Le Parisien - Lundi 28 février 2011/via le site du plesssis

La revue de presse de ce lundi commence page précédente, par l'article de la voix des sports, sur le match de Dunkerque - Narbonne.

Bruno a écrit:: Une bonne claque qui ne fera pas de mal. On était les plus forts, on est tombés sur plus fort que nous, Martigues poursuit sa serie mais n'est pas non plus à l'abri d'un coup d'arrêt. Comme Copy, je les vois très fort et en play off. Dans ce championnat, ça va bouger jusqu'à la dernière journée, ce sera l'équipe qui se plantera le moins qui l'emportera.

Une branlée ça arrive, maintenant il y a un prochain match avec une remise en question de l'équipe et aussi du coach car faire une connerie comme celle là, désolé mais ça le fait pas trop pour un leader de pro B...

Ave Chaumontais!!!!

Nous essayerons de vous venger ce week end Journée 18 MARTIGUES VOLLEY BALL / CVB52 HM - Page 3 Icon_big

A très bientot

Un mois de février estival !

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A la fin du mois de janvier, le Narbonne Volley était en pleine saison basse et il avait le coup de fourchette modeste. « On va jouer entre la quatrième et la cinquième place », pronostiquait alors Jean-Marc Biasio. Un objectif a minima motivé par une nouvelle défaite à Nancy.

Un mois plus tard, Jean-Marc Biasio a conservé sa traditionnelle réserve. Néanmoins, il est bien obligé de reconnaître que la situation de son équipe a favorablement évolué. Même si les Centurions occupent toujours la quatrième place au général.

>>1 Un changement pour stabiliser l'ensemble Maxime Poyer, plus jeune joueur des titulaires, avait des difficultés à assumer la pression du rôle de libero. Surtout au sein d'un collectif censé jouer les tout premiers rôles. De son côté, rare rescapé de l'équipe de Ligue A, William Bersani se morfondait sur le banc des remplaçants.

Humainement, la décision n'a pas été facile à prendre, mais Jean-Marc Biasio a fini par trancher dans le vif, en remplaçant Poyer par Bersani, plus expérimenté. Le Brésilien a apporté de la stabilité à l'équipe, sans oublier sa rage de vaincre. William Bersani porte-bonheur des Centurions ? Toujours est-il que le Narbonne Volley n'a pas perdu un match en février. Quant à Maxime Poyer, il a décidé de quitter le club.

>>2 Un sans-faute pour changer d'objectif C'est un mois de février totalement estival que vient d'achever le Narbonne Volley. Il a, effectivement, fait le plein de points en quatre matchs. Les Centurions ont d'abord pris leurs distances sur Asnières, largement dominé 3-0. Ensuite, ils ont frappé fort en allant s'imposer chez l'ancien leader Lyon (1-3). Ce succès hautement symbolique a totalement relancé les Narbonnais.

Attendus face à Orange (3-1), au Palais, et à Dunkerque (1-3), les joueurs de Jean-Marc Biasio n'ont pas failli, malgré deux sets égarés par relâchement. Avec douze points supplémentaires, la vie est forcément plus belle.

Relégué à neuf longueurs du leader lyonnais, après sa défaite à Nancy, le Narbonne Volley ne compte plus que deux points de retard sur Avignon, nouveau leader ; un seul sur Chaumont et Lyon, qui complètent le podium.

>>3 Un mois de mars pour prendre date Le 26 mars, le Narbonne Volley doit se rendre à Chaumont pour ce qui ressemble à un match au sommet, lequel précédera les quatre derniers rendez-vous du championnat régulier. Où en seront les deux équipes au moment d'en découdre ? Nul ne le sait.

Au préalable, le Narbonne Volley a trois matchs à négocier, pour arriver en position de force en Haute-Marne. Samedi, il reçoit Martigues, récent vainqueur de Chaumont (3-0). Il lui faudra ensuite se méfier d'un Cambrai revanchard et prendre Saint-Brieuc au sérieux.

Rien d'insurmontable pour des Centurions, qui ont la chance de voir arriver un nouveau train à destination de la Ligue A.

ÉRIC MARTY
source/midi-libre

Le coup est passé si près

Journée 18 MARTIGUES VOLLEY BALL / CVB52 HM - Page 3 Pour-Hentzen-et-Bezdeka-ici-au-contre-face-a-l-Alesien-Herrera-cette-defaite-fait-voler-en-eclat-les-espoirs-de-play-off_-Photo-Luc-MARGALIDA

Pour Hentzen et Bezdeka ici au contre face à l’Alésien Herrera, cette défaite fait voler en éclat les espoirs
de play-off. Photo Luc MARGALIDA

ALES BAT NANCY VOLLEY MAXEVILLE/JARVILLE : 3-2

Les sets : 25-23 (28’), 22-25 (28’), 19-25 (26’), 25-18 (20’), 11-15 (18’).

Maxéville. Après Narbonne et Avignon, le Nancy Volley espérait bien épingler Alès, le 3e ancien pensionnaire de Ligue A, à son palmarès. Hélas, les protégés de Luc Marquet, l’homme aux 325 sélections en équipe de France, en auront décidé autrement au terme d’une partie longtemps indécise.

Il faut dire qu’au coup d’envoi un seul point séparait les deux formations. Maintenant, les Maxévillois n’ont absolument pas à rougir de ce revers car au niveau budget, les deux clubs ne combattent pas du tout dans la même catégorie. Du coup, dans les moments difficiles, Manu Dumortier ne peut pas sortir de son banc, à l’inverse de son homologue gardois, un joueur de la trempe de Kaminski qui flirte avec les 2m08 sous la toise !

Car la physionomie de la rencontre commença à évoluer à partir de la rentrée du Polonais sur le parquet maxévillois en fin de première manche. Jusque-là, le second meilleur marqueur du championnat avait assisté impuissant à un superbe bras de fer entre deux formations visant encore les play-off. Malgré la vitesse d’exécution du Vénézuélien Herrera Chourio, les Cévenols ne parvenaient pas à se défaire de leurs hôtes qui pouvaient s’appuyer sur les plateaux de Lacombe pour construire leurs mouvements. Le libero nancéien, qui ne cesse de progresser, se montrant tout aussi décisif en défense, le ‘’six’’ jarvillois commençait à prendre les devants au tableau d’affichage. Les aces de Kerboua et les contres du tandem Bezdéka-Kiciak offraient aux locaux cinq balles de set (24-19). Les Sudistes en sauvaient bien quatre mais Kiciak forçait le destin (25-23).

La machine alésienne allait se mettre en branle sous la férule de Kaminski qui avait suppléé sur le terrain un Banchev fantomatique. L’apport du géant polonais redonnait confiance aux Cévenols. Dans le camp d’en face, Nancy avait perdu de sa superbe multipliant les mauvais choix offensifs (5-11). De plus, d’incroyables erreurs de communication entre les joueurs de Dumortier favorisaient les plans de Marquet (13-18 puis 22-25).

La pause ne remettait pas immédiatement les Maxévillois dans le coup. Mis à part quelques belles prises d’initiative d’Hentzen et de Kiciak, le Nancy Volley ne tardait pas à voir s’échapper les Alésiens. Les secondes mains du Canadien Davidiuk et les mines du duo Kaminski/Herrera-Chourio fracassaient le parquet de Marie Marvingt (11-14). Toutefois, Podgorski, très irrégulier hier soir, mettait au moment opportun le nez à la fenêtre pour remettre les pendules à l’heure (17-17). Mais dans le final, les erreurs jarvilloises se payaient au prix fort (19-25).

C’est alors que Dumortier lançait Attivi dans la bagarre en lieu et place de Podgorski. Celui-ci débarquait avec sa hargne et son envie de s’illustrer. Nancy pouvait de nouveau croire au succès d’autant que Kaminski se cassait les dents sur les mains de Kiciak et de Kerboua (8-6). De nouveau percutants au filet et vicieux au service, les Lorrains ne laissaient pas Alès reprendre son souffle (13-8, 17-10 puis 25-18).

Les Gardois, qui n’avaient pas encore gagné le moindre tie-break de la saison, devaient vaincre le signe indien dans une manche décisive au cours de laquelle Nancy a eu sa chance (5-3 puis 8-7). Mais Kaminski et Farjaudon signaient un 4-0 rédhibitoire pour les partenaires de Kiciak qui voient les play-off quasiment s’envoler (11-15).
source/l'est republicain/via le site du nancy-volley

Deux articles, pour ce mardi.

Pour Ratko Peris et le CVEC,
« tout reste ouvert »

La déception était de mise samedi soir dans les rangs du CVEC. Perdre (2-3) face à Saint-Brieuc, qui pointait à la 12e place du général au coup d'envoi du match, ressemblait à une vraie contre-performance, qui plus est à domicile.

Mais opposés à une équipe qui a proposé un jeu nettement supérieur à celui que l'on attendait, une équipe qui doit encore affronter Nancy (8) et Alès (9) et qui conclura sa saison par la réception d'Asnières, les Cambrésiens n'ont peut-être pas réalisé une si mauvaise opération que cela en prenant un point. À l'heure du décompte final, celui-ci penchera peut-être favorablement dans la balance nordiste.

En attendant, si Ratko Peris était forcément triste, samedi soir, l'homme n'était cependant pas abattu. « Il n'y a pas mort d'homme » lançait-il avant de quitter Vanpoulle. « Ce soir, Saint-Brieuc a été meilleur que nous, je n'ai pas grand-chose à dire d'autre. » Trop vite privé de son passeur titulaire, Jure Kvesic, victime d'une « faiblesse physique », le CVEC, bousculé en réception, a d'abord peiné avant de retrouver ses esprits avec, notamment, un bon Grimaïlovs sur le parquet. « Nous n'avons pas été bien. C'est dommage car il y avait la place pour passer. » Notamment dans le quatrième set, quand à 23 partout, M. Petitjean validait une réception de Brouck alors que la salle réclamait un rebond au préalable. Un fait de match qui allait complètement changer la donne (23-25 au 4e set et 8-15 dans la manche décisive) mais que le technicien n'allait pas souhaiter commenter, le mal étant fait.

« Il reste huit matchs à jouer et tout reste ouvert. On ne va pas abandonner. On va aller chercher des points à Chaumont... On va essayer d'en gratter partout ! » S'il veut disputer les play-offs, le CVEC n'a de toute façon pas d'autres alternatives.

• F. BOURGIS

Au classement après 18 journées : 1. Avignon (41) 2. Chaumont (40) 3. Lyon (40) 4. Narbonne (39) 5. Cambrai (33) 6.

Asnières (33) 7. Martigues (31) 8. Nancy (26) 9. Alès (26) 10. Plessis-Robinson (19) 11. Saint-Brieuc (17) 12. Dunkerque (15) 13. Orange (14) 14. CNVB (4).
source/La Voix des Sports