Journée 13 PLESSIS-ROBINSON VB / CVB52 HM

stak52 a écrit:: Et aussi un grand bravo a la steph qui a merveilleusement bien joué son role de chef d'orchestre en l'absence de jakouille.Merci a elle

Merci Stak ça me fait énormément plaisir.... Mais personne ne pourra remplacer notre Jakouille, comme je le dit toujours "c'est mon mentor..." loool

Faut pas oublier Rosie et Claude (Maman et Papa Jakouille) qui ont formidablement bien encourager notre équipe.... Je suis quand même contente de retrouver Jakouille à mes côtés Samedi à Nancy..... Journée 13 PLESSIS-ROBINSON VB / CVB52 HM - Page 4 Icon_big

Et surtout j'ai bien été soutenu par vous, qui m'avez bien suivi.... et oui le chef à besoin de son orchestre pour réaliser son chef d'oeuvre loool

bisous et bonne soirée à tous....

Et allez cvb

[quote="La Pin's Familly"]

stak52 a écrit:: ...Et surtout j'ai bien été soutenu par vous, qui m'avez bien suivi.... et oui le chef à besoin de son orchestre pour réaliser son chef d'oeuvre loool...

Oh comme c'est joliment dit!

[quote="Jéjé"]

La Pin's Familly a écrit:

stak52 a écrit:: ...Et surtout j'ai bien été soutenu par vous, qui m'avez bien suivi.... et oui le chef à besoin de son orchestre pour réaliser son chef d'oeuvre loool...

Oh comme c'est joliment dit!

Et oui Jeje ça m'arrive de dire de belles choses.... Looool

Medaillé d'or Nombre de messages : 1463 Date d'inscription : 03/03/2008

[quote="stak52] a ce sujet, JOJO 52, attends toi a un mp de ma part a defaut de te voir sur le terrain de luzy) [/quote]

L'année dernière je n'es raté aucun match hormis celui contre Tourcoing (en semaine) malgrès que j'habite et je travaille a plus de 400km maintenant ! De là a aller a Luzy les fois que je rentre.. Pas gagné, donc ui envoie un MP si tu veux.

Un vrai faux départ

Après avoir enlevé le premier set, les deux équipes du Plessis-Robinson ont ensuite peu à peu perdu le fil. Néanmoins, les filles du PRVB ont poussé Gruissan au tie-break alors que les pros ratent le coche face à Chaumont (1-3), restant à portée de main des relégables.

Le Plessis-Robinson / Chaumont : 1-3 25-22/ 20-25/ 12-25/ 21-25

Le PRVB trop inconstant

Capables du meilleur comme du pire, les Robinsonnais ont été trop irréguliers face à l’expérience chaumontaise. Une défaite qui laisse des regrets.

Le public était au rendez-vous, l'adversaire d'un statut de prétendant aux play-offs, tous les ingrédients étaient réunis pour fêter comme il se doit ce premier match de l'année à l'Espace Omnisports. Tout avait bien commencé pour les Jaunes et Noirs, qui enlevaient le premier set de main de maître (25-22). L'explosivité, la détermination, tout y était dans ce set initial. Peu à peu, Chaumont qui n'avait guère le droit à l'erreur se réveillant dans le sillage de Lica pour égaliser (20-25). Comme face à Asnières, les Altoséquanais rataient toutes leurs initiatives face à des Haut-Marnais qui n'en demandaient pas tant, expédiant la troisième manche (12-25). Dans le sillage de l'international français Yannick Bazin, qui était de retour dans l'hexagone, Chaumont maîtrisait les débats et parvenait logiquement à ses fins (21-25). Irrégulier avec trop de temps faibles face à un adversaire de ce niveau, le Plessis-Robinson enchaîne un second revers de rang.
source/le site du plessis volley

Les réactions du week-end

Défait par une séduisante formation de Chaumont (1-3), le PRVB encaisse un second revers de rang. Certains protagonistes ont répondu à nos questions.

Jonathan Santer : “Il y a des regrets. Le scénario me rappelle un peu la rencontre perdue face à Asnières, où l’on est capable de montrer de belles choses, mais aussi de passer complètement à travers d’un set. Malgré tout dans nos temps forts, on arrive à faire de belles choses. Notre manque d’expérience dans les moments clés a fait pencher la balance en faveur de Chaumont qui pouvait s’appuyer sur des individualités comme Lica ou Bazin pour forcer la décision. On reste dans la continuité où l’on voit de choses intéressantes. Il y a encore de nombreux réglages à effectuer, mais il y a eu quelques progrès notamment sur la qualité du service. »

Clément Bleuze : “Je suis vraiment dégouté de perdre de cette manière-là. C’est une grosse désillusion. On fait un bon match dans l’ensemble hormis la troisième manche où l’on passe à travers. Je suis très remonté envers l’arbitrage qui une nouvelle fois nous fait perdre un voire plusieurs points. Je trouve ça honteux de voir qu’il n’y a pas d’arbitre de ligne à ce niveau-là. Je suis énervé, car je le répète nous avons fait un match combatif. »

Yannick Bazin : “C’est une première satisfaisante. Je n’avais qu’un ou deux entraînements avec l’équipe. Je me suis fondu progressivement dans le groupe et cela a plutôt bien marché samedi soir. Malgré la perte du premier set, on ne s’est pas affolé, on a pris notre temps et la victoire est me semble-t-il logique. J’espère que cette victoire est la première d’une longue série. »
source/le site du plessis volley

Harnes, incroyable champion
d'automne... et bien plus !

HARNES - AVIGNON 3-0 (25-18, 25-19, 25-16)

Le coup d'éclat réalisé par Harnes ce week-end contre Avignon a fait l'effet d'une bombe.

Non seulement, les hommes de Christophe Haffner ont asphyxié l'ex-leader, mais ils lui ont surtout confisqué son sceptre sans nulle contestation.

On savait les Artésiens en pleine possession de leurs moyens, capables de soulever des montagnes, mais ce week-end leur démonstration sur le long terme a fait forte impression. Avignon, pourtant leader, n'a jamais pu se mettre au diapason d'un promu qui n'est plus une surprise, mais une véritable révélation.

Harnes, telle une guêpe, piqua rapidement. Avec des aiguillons envoyés par Patucha (4-2) puis par Bouanda (7-4), Avignon sombra. Auteurs d'un incroyable gâchis au service, les hommes de José Amet laissèrent Harnes s'éloigner au fil du set grâce aux illustres orientations d'un Dillies sûr de son fait et ouvrant parfaitement les loquets devant (13-10, 19-16 puis 25-18).

Sans réelle assurance derrière, Avignon tenta le passage en force. L'option donna l'occasion à Jaumel de trouver enfin la bonne trajectoire pour ses ailiers, mais Gorokhov veilla au grain comme à son habitude. De fait, les deux formations restèrent au contact (11-11). C'est alors que la vaillance d'Anot et la régularité de Kardass firent la différence.

Avignon resta sur un rythme avec soubresauts tandis que le HVB glana ici et là de précieux ballons (15-12). Les Harnésiens en phase affichèrent toutes les garanties nécessaires à ce stade pour garder les leviers orientés dans le bon sens et finir en trombe (21-15 puis 25-19).

La pause aurait pu mettre à mal la supériorité artésienne mais, une fois de plus, le HVB garda son calme. Une vertu qui donna aux offensives maison une saveur âcre envers des visiteurs en perpétuelle remise en cause (6-3, 12-8). Le coach vauclusien essaya bien de relancer certains de ses éléments en manque de temps de jeu comme Stafford, mais les quelques coups d'éclat du pointu américain ne suffirent pas (18-12, 20-14). Harnes resta intransigeant. Monneraye imposa sa stature et Avignon, sans idée directrice, sombra dans l'anonymat.

La salle Kowaleski pouvait exulter car elle tenait là son nouveau champion d'automne. Un titre honorifique certes, mais ô combien porteur. •

SÉBASTIEN RENAUT
source/La Voix des Sports

Cambrai a frôlé l'exploit

SAINT-NAZAIRE - CAMBRAI 3-2 (20-25, 25-20, 25-15, 24-26, 15-10)
Les Cambrésiens peuvent-ils avoir des regrets ? Sans doute pas. Ils ont fait, en équipe solidaire qui sait s'exporter, du bon travail en allant chiper le point de consolation à Saint-Nazaire, ce qui n'avait rien d'évident.

En effet, leurs qualités mentales ont été déterminantes quand il s'est agi de faire face au retour des Nazairiens lors de la quatrième manche. Partis de 12-17, ces derniers avaient su combler leur handicap pour égaliser à 20 partout sous l'impulsion de leur meilleur attaquant, Tosatto. Mais le Canadien Schmuland, peu inspiré en cette soirée, offrit le tie-break aux Nordistes en mettant un pied sur la ligne lors de son service et en balançant une balle d'attaque dehors.

Dans cette salle froide (le chauffage était défectueux), Saint-Nazaire, plus qu'emprunté en réception, a d'abord subi la loi des Cambrésiens, bien emmenés par Salon, l'ancien Nantais, et Traoré. Accumulant les fautes directes, les Nazairiens laissaient filer le premier set avant de se ressaisir lors du deuxième avec un block enfin retrouvé. Un secteur qui allait être déterminant dans la troisième manche avec Moulinier et Pribanovic qui alignaient trois contres coup sur coup. Ils finissaient par se procurer une balle de match à 24-23, la gâchaient, et se retrouvaient embarqués dans un cinquième set qui offrait au minimum un point aux Cambrésiens.

Le tie-break, c'est un peu la spécialité maison des Portuaires. Saint-Nazaire, qui voulait rester dans la « bande des quatre » n'avait pas d'alternative. Poussée par son public, l'équipe nazairoise faisait front, et renversait l'avantage de trois points rapidement acquis par Cambrai pour s'imposer assez nettement (15-10). S'ils ont frôlé l'exploit, les Cambrésiens pourront se consoler avec ce point durement acquis à l'extérieur.

« Je suis évidemment déçu puisqu'on perd, confiait le coach Ratko Peris à l'issue de la partie. Je regrette surtout qu'on ait mené 8-5 dans le tie-break et qu'on se retrouve ensuite à 14-9 contre nous. C'est le sport, c'est comme ça. J'espère qu'on se rattrapera la semaine prochaine chez nous devant notre public face à Alès. » •

M. P.
source/La Voix des Sports

Harnes se hisse au firmament
avec une réelle légitimité

C'est ce week-end à l'issue des matches aller que le Harnes Volley-Ball s'est emparé de la première place du championnat en dominant de la tête et des épaules Avignon. Une demi-surprise tant les Artésiens ont éclaboussé cette première partie de saison de toute leur classe.

Le classement est en l'état limpide. Le HVB est actuellement seul leader, Avignon, l'adversaire du soir ayant été relégué au sortir de cette 13e journée à une place subalterne. Maxime Dillies, le passeur et capitaine de l'ossature nordiste, ne pouvait que tirer un bilan plus que positif de la situation.

« C'est une très bonne performance. Nous sommes ravis, c'est normal car nous restons sur notre dynamique, nous battons le leader et nous devenons champion d'automne même si là dessus tout peu changer très vite. C'est vrai qu'à Avignon ils n'ont certainement pas montré leur meilleur visage et qu'ils ont même commis beaucoup de fautes, surtout au service, mais je pense que c'est également de notre fait. Nous les avons fait déjouer. Nous avons su provoquer leurs erreurs. »

- On sent le HVB serein, quel que soit l'enjeu. Y a-t-il une explication à cela ?
« Nous avons cette faculté collective à ne pas paniquer. Nous restons d'ailleurs un peu sur la lancée de la saison dernière. Dans chaque situation nous savons rester positifs, peu importe l'adversaire. Dans la tête, c'est un plus indéniable. »

- Est-ce que cette forme du moment peut être à double tranchant ?
« Nous affichons une certaine forme de sérénité c'est vrai. Maintenant, ce qui me fait un peu peur, c'est de se laisser aller à penser que nous sommes "arrivés "comme on dit. Or, il est important de ne rien lâcher. Nous pourrions perdre de l'influx si nous ne sommes pas tous à fond dans le projet. La défaite de Nice par exemple devant Saint-Quentin démontre que le moindre relâchement se paye cash. Ceci dit, quand je vois les joueurs d'expérience que nous avons, je me dis que tout le monde adhère parfaitement au projet. »

- Y a-t-il une recette miracle pour en arriver là ?
« Nous évoluons dans un cadre sérieux. Il n'y a pas de raison pour que cela s'arrête du jour au lendemain. Et puis même si nous nous surprenons nous-même nous avons de l'ambition. Et comme au fil des matches nous prenons un maximum de plaisir et que nous voyons les choses aller dans le bon sens, nous avons envie de nous battre pour préserver jusqu'au bout notre chance de disputer les "play-off" à la fin de la première phase. »
• SÉBASTIEN RENAUT (CLP)

HARNES - AVIGNON (Ligue B, 13e journée : 3/0. 25/18 (24'), 25/19 (22'), 25/16 (23').

>>HARNES : Gorokhov, Monneraye, Kardass (puis Clément), Patucha, Bouanda, Dillies, Anot (l).

Entraîneur : Christophe Haffner

>>AVIGNON : Quoirin (l), Frontin, Mac Givern, Nyabeye (puis Stafford), Jaumel (puis Rossard), French, Granier (puis Kukhar).

Entraîneur : José Amet
source/La Voix des Sports

VOLLEY-BALL
Coup dur pour le CVEC, privé des services d'Aleksandar Mitev.- Coup dur pour le CVEC de Ratko Peris. Samedi soir, son équipe n'a pas seulement concédé une nouvelle défaite, une fois de plus au tie-break. Elle a, aussi et surtout, perdu un joueur, en l'occurrence le passeur Aleksandar Mitev.

Touché au bas-ventre pendant le match contre Saint-Nazaire, le Macédonien, qui a tenu sa place jusqu'au bout malgré la douleur et qui a été transféré à l'hopital juste après le match, a été opéré dimanche matin. Il devrait être absent des terrains pendant un mois.
source/la voix des sports

L'exploit de Saint-Quentin à Nice

C'est en obligeant Mladen Kasic à poser son temps mort après trois minutes de jeu, que les Picards ont entamé vendredi leur rencontre à Nice. Avec sans doute le souvenir de la saison passée, où ils étaient venus chercher leur seule victoire à l'extérieur dans cette même salle... Le 0-5 affiché ne pouvait donc être que stimulant pour ce dernier match de la phase aller.

Le NVB freinait ce départ rapide, mais traînait ses points de retard (8-11, 10-15). La série au service de De Souza (avec deux aces) ramenait Nice dans les roues de Zlatic and co, mais, avec une réception irrégulière, une attaque pas mieux lotie, les locaux se remettaient en danger (16-19, 18-22). Et laissaient à Saint-Quentin le gain du premier set.

L'entame du second set était tout aussi attractive. Le contre de Mikula sur De Souza limpide... (4-7). Une petite gifle qui remettait les esprits en place et, quelques échanges plus tard, Nice par Meyer signait son premier avantage de la partie (10-9). Une promesse difficile à tenir face à des Axonais toujours aussi insolents à l'image de Mikula (16-16). Il fallait tout le culot de Demirovic pour entretenir l'espoir niçois.
Mais les deux contres gagnants de Zlatic obligeaient Nice à une nouvelle poursuite (19-21), à sauver deux balles de set et à s'incliner 23-25.

Avec deux sets dans la poche, Saint-Quentin commençait à flirter avec l'exploit.
C'est avec cinq points d'avance que les visiteurs atteignaient le premier temps mort technique. Kasic lançait le jeune Schroeder à la passe, Meyer haussait le ton, mais c'est encore l'adversaire qui menait les débats au second temps mort (13-16). Dos au mur, les Niçois s'énervaient enfin. Attaques, contres, défenses, il y avait du mieux (18-19). Mais ce réveil était trop tardif pour empêcher une nouvelle fois Saint-Quentin de s'amuser à Nice.
source/l'aisne nouvelle

La revue de presse de ce lundi commence par l'article sur le du plessis et la victoire du CVB.

Medaillé de bronze Nombre de messages : 892 Date d'inscription : 01/09/2009

Belle revue de presse Taylor.
Merci.
La blessure de Mitev à Cambrai va donner du temps de jeu à un ancien du CVB, David GUELLE.

la situation se complique au CVEC,
désormais privé de son passeur

Le déplacement à Saint-Nazaire, samedi soir, ne laissera pas un bon souvenir aux Cambrésiens. Non seulement, ils se sont inclinés pour la cinquième fois cette saison au tie-break. Mais ils ont, aussi et surtout, perdu Aleksandar Mitev pour un mois minimum. Un vrai coup dur pour une équipe déjà privée d'un capitaine, Galin Radichkov, à 100 % de ses capacités.

PAR FABRICE BOURGIS

> Et de cinq.- Samedi, le CVEC a concédé sa cinquième défaite au tie-break sur les sept que l'équipe a disputé à ce jour. « Je n'ai pas de mots, explique Ratko Peris, l'entraîneur. À 8-5 en notre faveur dans la manche décisive, le match est plié normalement. Mais voilà, cette année, on a une faiblesse. À certains moments, on en prend cinq ou six sur des services. On ne sait plus rien faire. » Samedi soir, c'est Hugo Moulinier qui s'est rappelé au bon souvenir du CVEC en plaçant quelques banderilles. De 5-8, le score est alors passé à 14-9 en faveur du SNVBA.

> Un problème de « concentration ».- À chaque match son lot de séries ! Contre Martigues, lors de la dernière prestation à domicile du CVEC, c'est Lomacz, au service, qui avait fini par renverser à lui seul l'équipe nordiste dans la quatrième manche. Samedi soir, à Saint-Nazaire, c'est donc Hugo Moulinier qui a fait pencher la balance en faveur de son équipe. Le CVEC ne supporterait-il pas la pression ? « Ça n'est pas un problème de pression, coupe court le technicien nordiste. Samedi, l'équipe a livré un bon match. Pendant quatre sets, les gars ont été là, ils se sont bien bagarré, ils ont trouvé des solutions... C'était même très intéressant. Mais à un moment donné, on lâche. Ça ne dure pas longtemps. Peut-être deux minutes. Mais pendant ce moment de solitude, il n'y a plus rien. On gâche tout ce qui a été construit au préalable. Pour moi, ça n'est pas un problème de pression. Mais de concentration. Et c'est d'autant plus ennuyant que cette année, les matchs ne se jouent pas à grand-chose. Nice, par exemple, a disputé 8 tie-breaks et en a remporté 6. Saint-Nazaire en a disputé 7 et en a gagné 6... »

> Un objectif à revoir ?. - Neuvième du général avec 18 points, soit 6 de moins que le cinquième et dernier qualifié pour les play-offs, Alès, et 9 de mieux que l'avant-dernier et premier relégable, Saint-Quentin. Bien au chaud dans le ventre mou, le CVEC va néanmoins devoir se méfier. Pas tant de l'écart qui est en train de se creuser avec le peloton de tête. Mais surtout du retour en force de Saint-Quentin, qui est quand même allé battre Nice sur ses terres, samedi. Avec deux joueurs en moins, Mitev « qui en a au moins pour un mois » et Radichkov « qui va passer des examens ce mercredi pour son dos », il peut y avoir péril en la demeure. Surtout après une telle série noire au tie-break... Ce qui laisse forcément des traces dans les têtes. Du reste, le technicien cambrésien le concède : « Dans la situation qui est la nôtre aujourd'hui, je pense qu'il faut d'abord penser au maintien ». Un vrai crève-coeur vu la qualité de l'effectif.

> Un pigiste médical pour ne prende aucun risque.- Vu la situation, Ratko Peris souhaitait forcément pouvoir disposer d'un renfort.

Mais le technicien restait évasif sur l'arrivée éventuelle d'un pigiste médical, hier matin. « On prendra quelqu'un si on le peut », se contentait-il de préciser hier. La raison de cette prudence ? Les finances, forcément, qui sont sont tendues au CVEC, comme en témoigne la nouvelle avance sur subventions (50 000 €) qui a été accordée mi-décembre par la communauté d'agglomération de Cambrai à l'unique club professionnel que compte le Cambrésis. Un club qui, par ailleurs, commence à agacer certains élus. Et ce malgré les efforts qu'il déploie pour augmenter ses recettes propres (création d'un VIP) et pour offrir un vrai spectacle aux Cambrésiens.

Mais hier, en début de soirée, si le président Machut nous confirmait sa volonté de donner sa chance à David Guelle, l'actuel second passeur du club, l'homme fort du CVEC nous confirmait également l'arrivée en qualité de pigiste médical de Jiri Simecek. Histoire de ne prendre aucun risque avec le poste de passeur, peut-être l'un des plus importants au sein d'une équipe. •
source/la voix des sports

Journée 13 PLESSIS-ROBINSON VB / CVB52 HM - Page 4 ML.17.01.12

source/midi-libre/via le du cacvb

Journée 13 PLESSIS-ROBINSON VB / CVB52 HM - Page 4 ML.15.01.12

source/midi-libre/via le du cacvb

Deux articles pour ce vendredi.

» Tournoi du Plessis-Robinson VB