Chaumont - Epernay

Une victoire serait la bienvenu face à une équipe d'epernay à la portée des chaumontais qui jouront sans Romain Fernandez, vincent devrait jouer libero

Le maintien n'est plus très loin et ça sera certainement le dernier match de Puyu avec la N3

Qui va venir Chaumont - Epernay Icon_que

Bruno a écrit:: Une victoire serait la bienvenu face à une équipe d'epernay à la portée des chaumontais qui jouront sans Romain Fernandez, vincent devrait jouer libero

Le maintien n'est plus très loin et ça sera certainement le dernier match de Puyu avec la N3

Qui va venir

Je reste au chaud chez moi!!! Je n'ai plus le courage de sortir Chaumont - Epernay Icon_mrg

Enfin je laisse des messages sur le forum c'est déjà pas mal! Chaumont - Epernay Icon_big

Victoire du CVB 3-2 france

mais ça a été dur

Oui match gagné des chaumontais trés difficilement !!
Ils ont vraiment eu chaud !!!!!
Mais la victoire est là c'est le principal !!!!!!!
Bien joué les gars !!!

Un match avec beaucoup de fautes et les joueurs cvbistes se sont vraiment mis la pression. La victoire est la c'est l'essentiel

super les gars france

le maintien est pratiquement fait
félicitations à toute l'équipe

Bravo à toute l'équipe et continuez à vous faire plaisir
france

• Sports l'union
Nationale 3 Sparnaciens tout près

EPERNAY : 60 attaques gagnantes ; 11 contres gagnants ; 2 services gagnants; 35 fautes directes. Six de départ : Sinitambirivoutin, Naprix, Bermli, Verstraet, Malet, Letrou, Pompon et Mikal Mi Mikal.

(De notre correspondant local Laurent GÉNIN). Côté Haut-Marnais, comme il en avait l'ordre, Margot se détachait de Dascalu (32 points) pour varier les offensives. Grâce à une réception solide, son entente avec Coglio fut parfaite et le CVB 52 prenait le large (huit-5, puis 13-huit). Mais, les Sparnaciens ne lâchaient rien (14-14) avant d'être pénalisés par des fautes directes (25-17). L'entame de deuxième manche est favorable aux Champenois (5-3, puis 12-9). Malgré l'activité de Dascalu, Pompon et ses équipiers remettaient logiquement les pendules à l'heure (21-dix-huit puis 25-23 en 24').
Le début de troisième set semblait confirmer l'emprise des troupes de Malet (5-1 puis huit-3). En gérant bien le «side-out», les Marnais pouvaient conserver leur avantage (16-13).
Incapable de mettre la pression sur l'adversaire, le CVB 52 faisait alors appel à son autre cadre. Weingaertner, au service et en défense, retrouvait ses 20 ans et permettait à son équipe de reprendre l'avantage au score (24-21). Mais il en fallait plus pour décourager des Sparnaciens déterminés, très agressifs en block-défense et présents en soutien. Epernay sauvait trois balles de set pour s'imposer finalement 27-25 en 27'.
Un vent de révolte sonnait enfin au sein du collectif haut-marnais (huit-3), mais la rebellion ne durait pas. Toujours gênés par des Sparnaciens décomplexés et performants au centre, les Haut-Marnais parvenaient difficilement à garder le cap (12-12, puis 16-14).
Epernay, défenseur en diable, sauvait encore trois balles d'égalisation mais, cette fois, Chaumont trouva la parade (vingt-huit-26 en 25'). Le tie-break fut, à l'image du match, très disputé. Et lorsqu'Epernay prit l'avantage à la rotation (huit-6), il mit aussi une option sur la victoire finale. Sauf que Chaumont revint conclure au finish (dix-huit-16).source l'union

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 13/02/2006

le maintien n'est plus loin.. france

Florent Rossi aurait tant aimé vivre cette belle aventure.

article sur EPERNAY / TOURS VB paru dans l'union

• Sports l'union
« De tout cœur avec eux »

S'il avait pu, il serait venu. Mais retenu à Marseille, Florent Rossi ne sera pas témoin, ce soir dans les tribunes du Comep, de la belle aventure de ses anciens partenaires.
Arrivé en 2003 à Epernay pour le retour du Racing en Nationale 3, l'ancien joueur de la Seyne-sur-Mer a largement contribué, en tant que coach et passeur, au maintien du club à ce niveau.

« Une récompense »

Retourné en Provence à l'intersaison, Florent Rossi, professeur d'EPS dans un collège de Marseille, a lâché la compétition mais s'entraîne toujours avec une équipe de niveau régional et collabore à la préparation des paires de beach tricolores.
« Je regrette d'être parti, c'est quelque chose que j'aurais bien aimé vivre, lance-t-il. Mais je suis très content pour eux et pour le club. C'est une belle récompense et le fruit du travail pour tous ceux qui travaillent dans l'ombre depuis des années. C'est aussi fabuleux pour la promotion du volley dans la région. Il faut vivre ça comme un moment de pur bonheur », ajoute l'ex-passseur sparnacien qui avait connu, en 1998, une histoire similaire avec la Seyne-sur-Mer contre le Stade Poitevin de Jean-Michel Roche.
« Il n'avait pas fait un changement du match. C'était une forme de respect. On avait perdu 3-0 mais on en avait bien profité », se souvient-il.Un autre ancien Sparnacien regrettera sans doute aussi de ne plus faire partie de l'effectif. Amar Yahiaoui, qui a rejoint le VC Bellaing, cet été, aurait certainement apprécié de croiser son ami et compatriote Hichem Guemmadi.
L'Algérien se consolera en affrontant, pour ces mêmes 8es de finale de la Coupe de France, Poitiers, un autre cador de Pro A.
N.R.

Leur jour de gloire

ALAN NAPRIX, 31 ans.
Pointu.
Profession : producteur.
Au club depuis 15 ans.
Forces et faiblesses selon David Sinit : «Des qualités physiques énormes. Son point faible, se repose trop sur ses points forts.»

JOHNNY LETROU, 22 ans.
Passeur.
Au club depuis 1 an.
Profession : intérimaire.
Forces et faiblesses selon Samuel Bertili : «passes parfaites mais ne distribue pas assez.»

MICKAèL RODRIGUES, 20 ans.
Attaquant-réceptionneur.
Sans profession.
Au club depuis 9 ans.
Forces et faiblesses selon Johnny Letrou : «Bon état d'esprit, grosse frappe mais encore un peu jeune.»
source l'union

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