Coupe de France

avec VANNES je pense que c'est très ouvert

garage gaudin a écrit:

avec VANNES je pense que c'est très ouvert

Voilà qui est très fin....

Macapuf a écrit:

garage gaudin a écrit:

avec VANNES je pense que c'est très ouvert

Voilà qui est très fin....

et ce qui est fin, se mange ...

garage gaudin a écrit:

Macapuf a écrit:

garage gaudin a écrit:

avec VANNES je pense que c'est très ouvert

Voilà qui est très fin....

et ce qui est fin, se mange ...

...sans faim!

Macapuf a écrit:

garage gaudin a écrit:

Macapuf a écrit:

garage gaudin a écrit:

avec VANNES je pense que c'est très ouvert

Voilà qui est très fin....

et ce qui est fin, se mange ...

...sans faim!

alors nous n'hésiterons pas de nous mettre à table

opacricri a écrit:

Villefranche en Beaujolais 3/0

C'est Villefranche-sur-Saone.

Raphaël a écrit:

opacricri a écrit:

Villefranche en Beaujolais 3/0

C'est Villefranche-sur-Saone.

Ben ca change rien il avai peut etre feté le beaujolais aussi!!!

Je confirme mais le club s'appelle Villefranche en beaujolais:-y

pas terrible cette année, le beaujolais!
nous arroserons avec autre chose

Maintenant si les clubs sportifs prennent des noms d'alcool, où va le monde. Je croyais que les sportifs devaient montrer l'exemple. Vous me direz, depuis le fameux coup de boule, toutes ces notions de modèles sont finies.

Et allez, je me prends pour Taylor :

extrait du progrès du 20 novembre 2006 : http://www.leprogres.fr/sports/rhone/769569.html

N1M: Villefranche logiquement battu

Les Caladois ne pouvaient rien faire face au leader

Villefranche 0
Vannes 3

A Villefranche-sur-Saône (palais de sports) : Vannes bat Villefranche 3 sets à 0 (23-25, 19-25, 13-25) en 1 h 15. Spectateurs : 200 environ.
Les Caladois se sont logiquement inclinés hier face au leader incontesté du championnat. Malgré un départ incluant trop de fautes directes (4- les locaux confirmaient les progrès apperçus depuis leurs trois dernières sorties. En proposant un jeu plus rapide en bout de fil, ils comblaient en milieu de premier set une partie de leur retard (15-17). C'est hélas le moment que choisissait le Vannetais Jerome pour servir le feu et mettre à mal la réception caladoise (18-22). Les Caladois ne baissaient cependant pas la tête, et revenaient à hauteur aux prix de solides efforts en défense (23-24). Kreskine, l'entraîneur vannetais, prenait alors un temps mort salvateur pour réorganiser ses armes offensives et plier la manche (23-25).
On pouvait dès lors s'attendre à une joute des plus attrayantes mais c'est hélas le contraire qui allait se dérouler.
Les Caladois entamaient la seconde manche en commettant de nouvelles fautes directes. Vannes, en leader appliqué et sûr de son jeu, ne laissait pas passer cette occasion : un passage mortifère de Rosa De Melo au service (4-11) allait placer les locaux dans une course à handicap impossible à gagner face au fond de jeu ultra solide des visiteurs (19-25).
Le troisième set n'était pour Vannes qu'une formalité : Jerome et Rosa De Melo unissaient cette fois leurs forces dans une même manche pour atomiser la réception caladoise (Villefranche encaissait un terrible 7-0). Atteints moralement, les Caladois se désunissaient complètement et lâchaient prise dans tous les secteurs du jeu (13-25).

opacricri a écrit:

Je confirme mais le club s'appelle Villefranche en beaujolais:-y

Villefranche en Beaujolais, c'est un peu comme Chalons en Champagne.

champagne ou beaujolais, je préfère le premier,
pour arroser les victoires

Julien Creisméas : « En l'absence d'Adjé Agnithey, nous devons chacun en faire encore plus. »

Volley-ball : Creisméas : « Les succès appellent le succès »

Nationale 1. Vannes VB - Conflans, samedi (20 h 30).
Julien Creisméas est un bloqueur-contreur de plus en plus efficace.

Julien Creisméas, vous entamez votre seconde saison sous les couleurs vannetaises. Quel a été votre parcours avant ?

J'ai démarré au Goëlo à 17 ans, évoluant notamment jusqu'en Nationale 1. J'ai signé ensuite au CPB Rennes, Nationale 2. Je suis arrivé à Vannes pour la saison 2005-2006.

Pourquoi avoir choisi Vannes ?

Pour relever le challenge sportif proposé par le club. Je connaissais déjà le capitaine Grégory Feret, Arnaud Genevé et aussi Adjé Agnithey. Je suis venu dans un club qui ne m'était pas inconnu, avec un bon entraîneur en la personne de Slava Kreskine, très proche et à l'écoute de ses joueurs.

Vous tenez le poste de central, quelles sont les spécificités et les qualités requises ?

Le central doit alterner des balles rapides. Il doit se montrer efficace comme bloqueur et contreur au filet. Ce rôle demande une bonne lecture du jeu, une extrême rapidité gestuelle et bien évidemment une bonne détente verticale.

Cette saison, vous êtes très efficace. Vous alignez beaucoup de points gagnants, pratiquement à égalité avec Genevé et le Brésilien Para. Vous en êtes conscient ?

Depuis la malheureuse blessure d'Adjé Agnithey, nous nous sommes encore plus serré les coudes. Seul pointu désormais, Arnaud Genevé a pris le relais avec réussite. Le Brésilien Para est meilleur de match en match. Moi, je prends plus de responsabilités, ce qui peut expliquer cette efficacité.

Comment jugez-vous votre formation cette saison ?

Avec Agnithey, c'était super. En son absence, nous devons chacun en faire encore plus. Nous formons un bloc costaud, paré pour le haut de tableau. Il faudra simplement éviter les pépins physiques, surtout au niveau du passeur et du pointu. Chez les centraux, les postes sont triplés avec Laporte et le Tchèque Kuchar.

Vannes-Volley-Ball est un solide leader. Comment le ressentez-vous ?

Les succès appellent le succès. Des victoires acquises nettement, particulièrement à l'extérieur, sont excellentes pour le moral. Il faut poursuivre cette belle dynamique.

Quels sont les adversaires que vous redoutez le plus ?

Je pense à Nancy bien sûr, l'un des favoris pour l'accession en Pro B. Je n'oublie pas Conflans, Castres et aussi Lyon qui semble bien revenir.

En dehors du volley-ball, quels sont vos loisirs ?

J'aime la musique, toute la musique. Je vois beaucoup de films, des réalisations françaises. Par contre, je n'apprécie pas les films américains.
source Ouest-France

Attention à ne pas se laisser endormir . On a vu samedi dernier que des blessures peuvent encore plus cimenter une équipe. Alors méfiance face à une équipe qui n'a rien à perdre et qui sera exactement dans la même situation psychologique que nous contre Narbonne.

montrésor a écrit:

Attention à ne pas se laisser endormir . On a vu samedi dernier que des blessures peuvent encore plus cimenter une équipe. Alors méfiance face à une équipe qui n'a rien à perdre et qui sera exactement dans la même situation psychologique que nous contre Narbonne.

Y en a la d'dans

Chicard a écrit:

montrésor a écrit:

Attention à ne pas se laisser endormir . On a vu samedi dernier que des blessures peuvent encore plus cimenter une équipe. Alors méfiance face à une équipe qui n'a rien à perdre et qui sera exactement dans la même situation psychologique que nous contre Narbonne.

Y en a la d'dans

+1

La Voix du Nord - 02/12/2006
Volley-ball
LE CVEC AU REPOS

Pas de tour de coupe de France au menu, ce week-end, pour les Cambrésiens. Jean-Michel Machut et le CVEC ont en effet décidé de bouder cette compétition. La participation des équipes de pro B à la coupe de France n’étant, de toute façon, pas obligatoire mais facultative.

« Lors des deux dernières éditions, précise Jean-Michel Machut,Cambrai a à chaque fois passé le premier tour sans difficultés. Et au deuxième tour, on s’est toujours déplacé chez des Pro A, Nice et Avignon, je crois. Or, la première année, il faut savoir que trois jours après ce deuxième tour, on se rendait à Agde en championnat ! Bref, tout ça, ça m’a donc fait réfléchir. Car ce n’est pas vraiment représentatif d’une vraie coupe de France. Quand on regarde le cahier des charges de la fédération, on voit en plus que les clubs amateurs sont protégés jusqu’aux huitièmes de finales (NDLR : en cas de victoire, ces petits clubs sont assurés d’évoluer à domicile). Et ce, alors même qu’il y a une grande différence entre ces équipes et des Pro A ou des Pro B. Il n’y a d’ailleurs qu’au volley qu’on voit ça et c’est pour ça qu’on boycotte. En plus, comment aurions-nous fait si on avait, par exemple, dû se rendre à Cannes avant d’enchaîner Ajaccio quatre ou cinq jours plus tard en championnat ? Ça aurait posé des problèmes d’organisation. »

Cette année, seules 28 équipes se sont d’ailleurs engagées en coupe de France : 14 pro A, 4 pro B , 2 N1, 4 N2 et 4 N3. La recette ne semble donc pas vraiment séduire.
« Il est clair qu’aujourd’hui, et nous ne sommes pas les seuls, précise le président du CVEC, nous ne sommes pas satisfaits de cette compétition. Elle n’est pas valorisante ! »
Au repos forcé, les protégés de Christophe Haffner vont donc devoir s’efforcer de maintenir leur condition sans compétition, durant cette mini-trêve de quinze jours. Et ce, pour la deuxième fois de la saison et en l’espace d’un mois ! Il y a quinze jours, avant leur victoire contre Aix à domicile, les Cambrésiens sortaient, en effet, déjà de deux longues semaines de préparation sans compétition.
source la voix des sports

on ne peut pas donner complétement tort au président du CVEC, sa position se défend.