Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM

Je viens de manquer une belle soirée à Saint Nazaire mais bon je me rattrape dans deux semaine à Saint Brieuc Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM - Page 7 Icon_win

Ben moi, je félicite les joueurs qui ont fini le match en 3 sets à 0 comme ca, ca va me couter moins cher.. Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM - Page 7 Icon_win

Merci les gars et coach Nikola pour cette belle victoire.

Mr l'arbitre a écrit:: Je viens de manquer une belle soirée à Saint Nazaire mais bon je me rattrape dans deux semaine à Saint Brieuc

T as pas interet à être malade..... Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM - Page 7 Icon_mrg

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Medaillé d'or Nombre de messages : 1463 Date d'inscription : 03/03/2008

C'est net, c'est impressionnant cette force collective.
Ils auraient pu craquer dans le premier et dernier set. Pourtant ils font deux grosses remonté!!
On a vraiment une sacré équipe !!
Mais la saison est encore longue, l'effectif n'est que de 10 joueurs, attention aux blessures, et comment réagira l'équipe apres leur premiere defaite..
Nikola fait participer tout le monde, c'est cool pour la cohésion du groupe également.

Pour revenir dans le passé cette équipe me fait penser un peu a celle de toulouse qui était monté avc narbonne!! ( Super victoire d'ailleurs contre toulouse 3 a 1 si je me souviens bien a Jean masson).
Ya vraiment une superioté physique pour l'instant! Pourvu que sa dure !

7ème journée - 27/11/09
St-Brieuc 0/3 Martigues
Asnières 3/1 Brive
St-Nazaire 0/3 Chaumont
Dunkerque 16:00 Cambrai
ALCM 2/3 Lyon
Nancy 3/1 Harnes
Orange 1/3 Nantes Rezé

> Le 28-11-2009
7e journée de Ligue B, les matches

Chaumont, Nantes-Rezé et Lyon s'imposent à l'extérieur. Martigues s'invite dans le haut de tableau. Derrière, Asnières respire et Nancy fait une belle opération en vue du maintien.
Malgré un petit retard pour arriver à Saint-Nazaire, Chaumont s'impose en trois manches sèches. Après un début de rencontre très serré, les leaders invaincus déroulaient avec beaucoup de maîtrise. Chaumont s'affirme de plus en plus. Derrière, Nantes-Rezé et Lyon sont les seuls à suivre le rythme et restent au contact. En déplacement à Orange, les deuxièmes du championnat contrôlaient la rencontre de bout en bout malgré la perte de la troisième manche.
Les Lyonnais gagnaient eux dans la douleur à Canteleu. Les Locaux pratiquaient en effet un volley de rêve lors des deux premiers sets avant de forcer leur jeu. Résultats : les coéquipiers de Dominique Daquin égalisaient avant de survoler le tie-break. Une sixième victoire de suite pour le promu.
Après un début de saison hésitant, Martigues imite ses anciens collègues de la N1 et enchaine une troisième victoire consécutive sur le score de 3-0 qui plus est sur le parquet de Saint-Brieuc. Emmené par leur pointu polonais Michal Kaminski (en photo), auteur de 20 points, le collectif sudiste négociait parfaitement les moments clés pour empêcher les Costarmoricains de revenir dans le match.
Asnières a relevé la tête en battant Brive. Malgré la perte d'un set, les Franciliens restaient concentrés pour finir le travail grâce au bon travail de Traoré Bandiougou (19 points). De son côté, Nancy disposait du dernier Harnes qui ne réussit toujours pas à gagner.
Dimanche, le derby du Nord entre Dunkerque et Cambrai sera chaud. Le premier vise le podium, le second veut s'extirper de l'avant-dernière place.

Jéjé a écrit:

SEV a écrit:: 91 Connectés....

Superbe

+ 1

Asul : le sixième aux forceps

Sixième succès consécutif pour les Lyonnais, hier à Canteleu (3-2). Mais que ce fut dur !

A Canteleu, Lyon bat l'AL Canteleu/Maromme 3 sets à 2. Détail des sets : 25-23 (25'), 25-21 (25'), 12-25 (23'), 22-25 (27'), 6-15 (12'). Arbitres : M. Macintyre et Mme Gadenne. Spectateurs : environ 250.

Les affaires rhodanniennes étaient mal engagées, hier soir, sur les coups de 21 heures. Et pourtant, au prix d'un incroyable retournement de situation, les hommes de Chalendar ont signé, en terres haut-normandes, leur sixième succès consécutif (2-3) ! « Je suis vraiment satisfait de mes joueurs, de leur réaction. On a réussi à produire du beau jeu face à une belle équipe de Canteleu, qui nous a posé pas mal de problèmes dans les deux premiers sets, notamment aux services », estime Chalendar, l'entraîneur lyonnais.

A l'entame de match en effet, le démarrage est laborieux face aux services de Belhache (3-0). Jambon ouvre la voie, tandis que la réception haut-normande fléchit prématurément (4-8). Les offensives de l'ALCM, en revanche, deviennent plus tranchantes et les Seinomarins prennent l'avantage (16-15). Ostrihon, le pointu slovaque, parvient à trouver les blocs-out. Kocik, le réceptionneur/attaquant polonais, finit le travail (25-23).

Face à une défense ragaillardie par le gain de la première manche, Lyon fait front (7-8). Néanmoins, deux fautes de main permettent à l'ALCM de reprendre les devants (16-14).Kocik est énorme. C'est lui qui signe le 2-0 en faveur des Haut-Normands (25-21).

« On a été fébrile en réception, et incapable de jouer notre jeu. C'est redondant ces derniers temps, on avait déjà eu du mal d'entrer dans le match contre Asnières et Saint-Brieuc», souligne Chalendar, pour faire référence à ce mauvais départ. Une fois qu'on n'avait plus rien à perdre, en revanche, on s'est lâchés. » Et ça a fait mal. Dès les premières secondes du troisième acte, Valfeaniu donne l'exemple au contre, face à un Ostrihon en petite forme hier soir (5-8). Jambon, Ristic et Daquin creusent l'écart (6-11). Bizarrement, l'ALCM semble totalement déréglée en attaque, et ne parvient plus à passer outre le bloc lyonnais (9-16). La différence est déjà faite. Jambon plie l'affaire sur une série de services qui met au supplice la réception haut-normande (12-25, 2-1).

Les deux équipes se livrent un vrai bras de fer (9-9, 14-14). Et quand les Lyonnais croient se détacher, grâce à Jambon et Ristic, les Seinomarins de Kocik parviennent à chaque fois à refaire surface (19-20, 21-22). Cependant, en râtant son service, ce même Kocik, pour une fois malheureux, met fin au suspens (22-25, 2-2).

Car dans la foulée, Ristic, et surtout Jambon, auteur du point victorieux, déciment la défense normande dans le tie-break (3-8, 6-15). Pour Lyon, le beau parcours se poursuit.
souce/le progrés

Le HVB reste en mode passif et sort défait de Nancy

Alors qu'il attendait beaucoup de son déplacement à Nancy pour parfaire sa copie et ainsi retrouver un rythme de croisière adéquat le Harnes Volley-Ball n'a pas été en capacité de tenir le choc. ...

Très mauvaise opération donc pour une formation artésienne qui n'a pas pu tenir la cadence et la distance imposée par son hôte. D'entrée la formation artésienne fut vite coincée par des séquences de jeu adverses parfaitement calibrées en bordure de fil. Trop souvent pris de revers et sans véritable solution de repli ni pompier de service Harnes perdit le lien en restant bien trop souvent en retrait. Le second acte donna pourtant des signes un peu plus engageants. Avec une bien meilleure coordination l'action fut beaucoup mieux agencée, permettant aux nordistes de virer en tête et ainsi de gommer leur entame trop prudente. Mais malheureusement les Artésiens retombèrent trop radicalement dans le dur. Relançant une équipe Nancéenne pourtant accessible les hommes de Marcelo donnèrent le bâton pour se faire battre en accusant le coup et en baissant trop radicalement de pied dans le dernier acte. •
source/la voix des sports

Volley-ball : Martigues a su profiter de l'apathie briochine

Ligue B. Saint-Brieuc - Martigues : 0-3. Face à un adversaire emmené par le duo de maîtresKaminski-Lomacz, les Briochins sont passés totalement à côté de la rencontre.

Il ne fallait pas attendre longtemps pour comprendre que l'on allait assister à une rencontre crispée. Désireuses de revenir en haut du classement après les points bêtement égarés en route depuis l'ouverture, les deux formations démarraient petit bras à l'image des pointus Kaminski et Radic qui avaient du mal à trouver leurs marques. Mais le gros travail défensif des visiteurs autour du libéro Stephane Besse permettait aux Martégaux de rester dans la course (6-6, 9-9, 12-12). Et dès que Kaminski retrouvait la réussite, les visiteurs prenaient le large pour virer en tête au second temps mort technique (16-13). La rentrée de Feret au service redonnait un coup de jeune aux briochins qui égalisaient 19-19. Mais ce n'était que feu de paille car en manquant coup sur coup deux services et une attaque les locaux relançaient leurs adversaires avant que Kaminski et Bru ne scellent le sort de la première manche.

Un coup de massue pour les locaux qui manquaient à nouveau d'entrée deux services et une attaque facile. Martigues pourtant pas souverain en profitait pour faire un premier break (13-9). Le faible niveau de jeu général offrait aux locaux l'occasion de refaire progressivement leur handicap et même d'égaliser à 15-15. Mais un ace de Kaminski replongeait la bande à Djordjevic dans le doute. Corda s'empressait d'enfoncer le clou avant que l'inévitable Kaminski n'offre la seconde manche à ses couleurs (25-22).

Dos au mur, les Briochins sortaient enfin de leur torpeur en menant rapidement 5-2. Christophe Charroux décidait alors de faire rentrer Dereymetz. Bonne pioche car Martigues revenait à 13 partout. Kornyienko côté briochin et Lomacz maintenaient leurs partenaires sous pression et à l'amorce du money time tout restait à faire. Mais Lomacz impérial au filet réussissait deux blocks somptueux propulsant son équipe vers un final souriant avant que Kaminski n'effectue la mise à mort. Les Briochins n'avaient plus que leurs yeux pour pleurer.

Martigues bat Saint-Brieuc 3-0 (25-21, 25-22, 25-23)

Saint-Brieuc : Radic (7), Kornyienko (9), Radovic (6), Grimailovs (15), Faure-Brac (9), Weick (4), libéro Boriskevitch puis Feret, Monneraye
source/ouest-france

Décimé,
Dunkerque aborde le derby face à Cambrai
sans trop d'illusions

Après une campagne de matchs amicaux convaincante cet été, le collectif dunkerquois ...

abordait cette saison en ligue B avec humilité mais en confiance. Hélas, une hécatombe de blessures est venue perturber l'équipe. Pire, cet après-midi, face à Cambrai, Dunkerque jouera sans remplaçants valides (hormis à la passe), ni libero. Dès lors, les choses se compliquent singulièrement... Si DGL est mal loti en ce mois de novembre, son adversaire est également diminué par les blessures.

Avant-dernier, Cambrai est la déception de ce début de championnat. Ceci dit, méfiance, les équipiers de Fabien Lemaire, ex-Dunkerquois, n'ont perdu que 3-2 face à Chaumont (leader de Ligue B) ou Paris Volley (Ligue A, en Coupe de France). Cette équipe a le potentiel pour jouer le haut de tableau.

À dire vrai, la situation de l'adversaire n'est pas la préoccupation majeure des Dunkerquois qui jouent de malchance (1). Avec six joueurs valides, dont deux passeurs, le casse-tête est insoluble et Gaël Bollengier devra se résoudre à faire jouer Renaud Doué, touché au genou.

Le coach ne cache pas son inquiétude. « L'infirmerie est pleine. Cette malchance est incroyable. Les joueurs ont peur de se livrer complètement, de peur d'être touchés également. Une nouvelle blessure serait catastrophique.... » Dès lors, que peuvent espérer les Dunkerquois ? « La situation est grave.
Ce match en devient presque anecdotique. Jamais nous n'avons pu jouer sur notre vraie valeur. Nous tenterons de les faire douter avec nos moyens. Il faudra avoir la rage, être solidaires pour s'en sortir tous ensemble. » •

DUNKERQUE (7e, 9 points) - CAMBRAI (13e, 5 points) Cet après-midi, 16 h, salle Dewerdt.
- Absents : Samuels, Godefroy (genou). Incertains : Keita (mollet), Doué (ménisque).
- DGL : Hoefelmann, Gadenne, Chiapetti, Amsellem, Hilaire, Jeanlys, Keita (?), Doué (?).

(1) Renaud Doué se fera opérer du genou le 10 décembre. Il souffre du ménisque.
Maxime Godefroy souffre d'une entorse du ligament latéral du genou. Son indisponibilité est évaluée à deux semaines.
Luis Samuels (déchirure à la cuisse) a repris la course mais il sera encore absent cet après-midi. Sa rentrée est espérée samedi face à Orange.

source/la voix des sports

Cambrai doit garder un esprit de coupe pour aborder le derby

Séduisant en Coupe de France contre Paris, en dépit de l'élimination, le CVEC doit maintenant afficher le même état d'esprit en championnat. Le derby contre Dunkerque va permettre de juger si les Cambrésiens sont encore capables de se lâcher et de conquérir une victoire nécessaire pour sortir enfin de l'ornière...

Une fois n'est pas coutume, Cambrai va redécouvrir les joies d'une rencontre dominicale, la salle Dewerdt de Dunkerque étant occupée samedi soir par les handballeurs. Ce deuxième derby de la saison s'annonce en tout cas bien plus compliqué que le premier, remporté facilement face à Harnes. La seule victoire du CVEC à ce jour, faut-il le rappeler...

Alors, à l'heure où il y a urgence à prendre des points, et tandis que s'annonce une série de matchs face à des équipes rompues aux joutes de la Ligue B, voire de l'étage supérieur (Dunkerque, Saint-Nazaire, Asnières, Saint-Brieuc et Maromme), mais qui n'y font plus forcément la loi (classées entre la quatrième et la neuvième places), on espère que ce nouvel affrontement régional sera le point de départ de la relance cambrésienne.

Face à eux, les hommes de Christophe Haffner trouveront une équipe maritime renouvelée à 50 % et qui, avec les arrivées de bons éléments - Samuels (pointu cubain), Hilaire (central, Avignon), Chiapetti (réception/attaque brésilien, Orange), et Amsellem (réception/attaque, Alès), sans oublier l'ancien Cambrésien, Keita (réception/attaque) - venus renforcer un noyau intéressant - les passeurs Hoefelmann (Brésilien) et Gadenne, l'indéboulonnable central Jeanlys, le libéro Godefroy, et un autre ancien Cambrésien, Doué (central) - pouvait nourrir quelques ambitions.

Mais comme Cambrai, à un degré moindre toutefois, Dunkerque a un peu manqué son début de saison avec déjà trois défaites au compteur. Un bilan moyen à relativiser, car les trois revers ont été concédés face au trio de tête (Chaumont, Nantes et Lyon). Autre point commun, mais également à un degré moindre, quelques problèmes d'effectif. Samuels et Keita étaient notamment absents le week-end dernier en Coupe de France, et leur participation pourrait être compromise.

« Il n'y aura pas d'excuses ! »

Les soucis d'infirmerie, on connaît bien à Cambrai puisque Peris, Rabaud et Lemaire, qui manquera les retrouvailles avec son ancien club, seront encore absents, alors que d'autres sortent de maladies.

Mais avec seulement sept joueurs valides, le CVEC a prouvé qu'il avait de la valeur face au grand Paris. Alors on veut y croire. D'autant que Dewerdt, où Dunkerque s'est incliné deux fois sur trois cette saison, s'est souvent montré hospitalier pour Cambrai (quatre victoires en cinq visites).
« Ce ne sera pas la même chose que Paris, annonce Christophe Haffner. Là, c'est le championnat, avec la pression. On n'est toujours pas dans les meilleures dispositions. Mais on va voir si on est capable de faire des choses aussi intéressantes que contre Paris. J'attends qu'il y ait un rebond et qu'on affiche le même état d'esprit. Et si ça ne se passe pas bien, il n'y aura pas d'excuses. » • O. D. (CLP)
Dunkerque-Cambrai, à 16 h.
source/la voix des sports

La revue de presse du 29/11 commence par l'article sur la sixiéme victoire consécutive d'une belle équipe de Lyon.

SEV a écrit:: 95 Connectés

De mieux en mieux, va t'on atteindre la centaine de connectés au prochain live Question

Jéjé a écrit:

SEV a écrit:: Un gros MERCI à LUCIE et CALINE de Saint Nazaire pour avoir accepté de faire le live..

C'est clair MERCI merci

, MERCI

et encore MERCI merci

mais de rien, y a pas de soucis Wink

bravooo à vous Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM - Page 7 Icon_mrg

Mr l'arbitre a écrit:: C'est un coup de chance de ne pas être forfait car le pont de Saint Nazaire ferme à horaire régulier ( il me semble) comme à Saint Malo... Merci aux arbtires pour une fois

le pont était fermé à cause de la tempête... Smile

Cambrai au bout du suspense

DUNKERQUE - CAMBRAI 2-3 (29-31, 25-27, 25-19, 25-21, 9-15)

Tout plaidait en faveur d'un match indécis entre les deux frères ennemis : le classement, le contexte toujours particulier d'un derby et un effectif décimé des deux côtés.
Le match a tenu toutes ses promesses avec un suspense omniprésent. La montagne n'a pas accouché d'une souris.

La première manche donna le ton. DGL remonta un 2-7 initial, sauva cinq balles de set pour finalement s'incliner 29-31. La rencontre était partie sur les chapeaux de roue et aucune des deux formations n'était résolue à lâcher le moindre point.

Le scénario se répéta quasiment à l'identique dans la deuxième manche. Cambrai attaqua pied au plancher (0-6). DGL pliait, tanguait même mais sans atteindre le point de rupture. Amsellem et Chiapetti tenaient la baraque à l'attaque et Doué, sur une jambe, accrocha l'égalisation (21-21). Le suspense atteint son comble dans le money time puisque Cambrai conclut sur sa quatrième balle de set (25-27).

Les matchs de haut niveau se jouent souvent sur des détails et les Dunkerquois en faisaient l'amère expérience. Jamais dominés dans le jeu, accrocheurs, ils se firent donc déborder à deux reprises pour avoir commis une faute de plus que l'adversaire. Mais rien n'était figé... En effet, la frustration était de mise à la mi-temps mais Jeanlys, en bon capitaine, remotiva les troupes. « On ne baisse pas les bras », harangua-t-il. Les Dunkerquois ne pouvaient abdiquer après être passés si près au début. Chiapetti montra la voie et, pour avoir pris le troisième set par le bon bout, DGL put manoeuvrer à sa guise (25-19). Sans remplacements possibles, les Maritimes pouvaient-ils tenir la distance ? Héroïques, ils déjouèrent les pronostics et renversèrent la vapeur pour s'offrir un tie-break (25-21).

Le suspense était à son comble, l'intensité maximale mais DGL craqua et, ce matin, c'est Cambrai qui sourit (9-15). Quel match ! •

B.V.
source/La Voix des Sports

Les Harnésiens
toujours « fanny »

NANCY - HARNES 3-1 (25-22, 24-26, 30-28, 25-21)

Nancy doit une fière chandelle à son libero roumain, Gheorghe Ilie.

Le super défenseur maxévillois a effectivement signé un plongeon royal, alors que les Harnésiens étaient sur le point de décrocher le troisième set (25-26). Une cabriole qui se transformait même en un point gagnant. Rien que pour cette défense, on pardonnera à Ilie ses réceptions hésitantes sur les services de Bouanda ou encore de Dillies.

À la fin de la rencontre, le staff jarvillois pouvait pousser un gros « ouf » de soulagement. Les protégés d'Emmanuel Dumortier ont effectivement eu toutes les peines du monde à faire plier des Harnésiens, toujours en quête de leur premier succès de la saison.

Et pourtant, les Lorrains savaient qu'ils affrontaient une bête blessée qui voulait absolument profiter de ce déplacement dans la cité Ducale pour sortir la tête de l'eau. Le duo Taghin-Coloras se chargea donc de calmer ses ardeurs (25-22). Et quand les Jarvillois eurent la possibilité de faire le break et certainement de tuer le match dans le deuxième acte (24-23), Harnes égalisa à un set partout (24-26).

Si bien que tout était à refaire pour Nancy qui se heurtait désormais à des Artésiens remontés comme des pendules (1-5 puis 4-9). Harnes céda néanmoins sur la cinquième balle de set des Jarvillois (30-28), après quelques points fort litigieux. Harnes perdait ensuite un peu le cours de la rencontre et s'inclinait, sans aucun point à la clé (25-21). •
source/La Voix des Sports

Galin Radichkov :
« Pour la confiance,
pour le moral,
cette victoire fait du bien »

Journée 7 SAINT-NAZAIRE VBA / CVB52 HM - Page 7 Galin-radichkov-pour-la-confiance-pour-130288

Galin Radichkov, auteur de 24 points
dimanche après-midi à Dunkerque.

Le CVEC s'est offert une belle bouffée d'oxygène dimanche après-midi en venant à bout (2-3) de Dunkerque sur ses terres. Retour sur cette belle performance avec l'un de ses héros, Galin Radichkov, dont le retour en forme doit réjouir le coeur des supporters.

> Galin Radichkov meilleur scoreur du match avec 24 points ! C'est une vraie résurrection, non ?

« Oui, c'est une petite résurrection mais ça a été un dur pour moi sur la fin. Physiquement, je ne suis pas encore au point. Contre Paris, j'ai prouvé que je pouvais jouer. Et dimanche, j'ai donné mon maximum pendant trois sets. Mais après, je n'y étais plus. Si j'avais d'ailleurs commis un peu moins d'erreurs, je pense même qu'on aurait pu gagner le 4e set. Mais dans l'ensemble, au niveau du groupe, on a retrouvé un peu plus de solidarité et de cohésion, surtout lors des moments importants. On a réussi à rester dans le match. Et ne pas baisser les bras, c'est quelque chose de très important. »

> Cette victoire, en tout cas, doit vous faire un bien fou ?

« Oui, pour la confiance, pour le moral, ça fait du bien. Mais au niveau de la qualité de jeu, ce n'est pas encore ça. Dimanche, on était encore crispé et on a fait beaucoup de fautes. Mais on s'est battu, on a toujours été positif et on est resté concentré. On est sur la bonne voie. On retrouve un peu de plaisir dans le jeu. Mais ce qui m'a fait le plus plaisir dimanche, c'est l'ambiance qui a suivi la folie au moment de la victoire. Cinq minutes plus tard, la joie était retombée ! Parce qu'on sait tous qu'on a encore à s'améliorer au niveau du jeu. On est tous conscients qu'on a encore beaucoup de travail à accomplir. Et ça, ça m'a plu. Mentalement, on est sur la bonne voie. »

> Contre Paris, on ne donnait pas cher de votre peau. Finalement, vous faites un super match et derrière vous enchaîner sur une victoire. Comment expliquez-vous cela ?

« Quand une équipe ne tourne pas, il faut un changement radical. Et contre Paris, le jeu a complètement basculé.
On s'est retrouvé à quatre remplaçants sur le terrain, dans une configuration inédite, et ça a marché ! Il fallait un changement, et j'espère que cela va être le déclic. »

> Cela correspond aussi à votre retour ainsi qu'à l'arrivée d'Aurélien Priat, le préparateur mental...

« Le préparateur mental n'est pas un magicien. En revanche, même s'il ne connaît pas vraiment le volley, même s'il a un peu de mal à comprendre comment on fonctionne, il a observé des choses. Et il a apporté quelque chose dans les attitudes sur le terrain, dans le comportement du groupe. Dans les regroupements, par exemple, avant, quand on perdait un point, on baissait les bras. Aujourd'hui, on reste solidaire et on regarde nos adversaires dans les yeux. Mais même si je suis ses consignes, pour moi, c'est surtout ce changement radical qui fait qu'aujourd'hui on est sur la bonne voie. »

> De toute façon, vous ne pouviez pas faire pire que lors du match contre Orange, où l'équipe avait touché le fond, non ?

« C'est vrai qu'on était dans une situation où il n'y avait pas dix milles choses à faire. Il fallait se battre jusqu'au bout, ne plus baisser les bras. Et aujourd'hui, je suis confiant car c'est une victoire d'équipe qu'on a décroché dimanche. On s'est tous arraché ! Désormais, il faut qu'on continue de la sorte et qu'on trouve surtout une régularité dans notre jeu. Il nous reste trois matchs à jouer avant Noël, j'espère qu'on va confirmer. Là, on reçoit Saint-Nazaire, on aura le public derrière nous... Mais il ne faudra pas se préoccuper du score. Il faudra d'abord penser à jouer notre jeu. »
f.b
source/la voix des sports

Une victoire importante pour le maintien

Du côté du classement, la victoire cambrésienne en terres maritimes ...

n'a pas véritablement eu d'effets. Cambrai occupe l'antépénultième place et reste toujours dans le wagon des relégables.
En revanche, cette victoire n'a pas fait que soulager tout un club. Elle a aussi permis au CVEC, qui a pourtant joué avec deux joueurs malades (Kvesic et Puljic), de ne pas s'enliser dans les profondeurs du général, en profitant des défaites de Saint-Brieuc (0-3 contre Martigues), Dunkerque, Saint-Nazaire (0-3 contre Chaumont) et Orange (1-3 contre Nantes), respectivement 7e, 8e, 10e et 11 e. Seulement quatre points séparent en effet les Cambrésiens (7) des Briochins (11).

Devant, Chaumont, Nantes et Lyon (vainqueur 2-3 à Canteleu), respectivement 1er, 2e et 3e, ont en revanche fait le trou. Le quatrième, Martigues (12 points) pointe en effet à trois longueurs de Lyon, six de Nantes et huit de Chaumont. À dix-neuf journées de la fin du championnat, la lutte pour la première place, synonyme d'accession, s'est-elle dessinée ce week-end ?
F. B.
source/la voix des sports

La mini revue de presse du 01/12 commence par l'interview de Galin Radichkov.